Le NÉPAL (🇳🇵)

Publié le par Eyraud Raphaël

 

Merveilleuse destination sur le toit du monde pour 15 jours de flânerie, de poésie et d'apaisement au cours desquels défilèrent comme les images d'un film, les paysages du Népal et les visages de ses habitants...Et puis période Covid et peur primale obligent, pas ou très peu de touristes, juste la candeur originelle des népalais...

Mais ce que j'aime aussi dans les voyages, c'est la rêverie préalable, l'imagination bouillonnante, débordante et sans limite que les fantasmes alimentent avant de partir.......ici c'est l'univers spirituel, magique, transcendant et fantasmagorique que ce pays évoque....totalement opposé au pragmatisme matérialiste, au verbiage superficiel, agressif et vulgaire qui assiège un monde occidental sans idéal et gangréné de convictions irraisonnées....C'est le rêve et l'invisible que j'allais côtoyer et qui allaient me nourrir....les hauts sommets mystérieux de l'Himalaya, les temples mystiques des moines Bouddhistes, la pensée diffuse de la Connaissance et qui sait, la recette de l'Existence....

Cliquez sur les titres 👀

Préface Le NÉPAL

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1) ADVENTURE WORLD TRAILS & TRAVELS  ❤️❤️ 

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2)L'ÉCOLE  ❤️❤️ 

3) KATHMANDU & PATAN  ❤️ 

4) NAGARKOT  

5) BHAKTAPUR  ❤️❤️ 

6) POKHARA 

7) DHAMPUS ❤️❤️ 

8) SAMOENS.HANDIGLISSE.com  ❤️❤️❤️ 

9) L'ANNAPURNA  ❤️❤️ 

10) SARANGKOT 

11) RAM GHAT  ❤️ 

12) BANDIPUR  ❤️ 

13) ROYAL ENFIELD

14) MYSELF 

15) CONCLUSION 

 

Le voyageur voit ce qu'il voit, le touriste voit ce qu'il est venu voir.

Gilbert Keit CHESTERTON

Le NÉPAL en quelques chiffres... 🇳🇵🌎

  • Forme de l'État..........République Fédérale (abolition Monarchie 2008)
  • Présidente République..........Mme Bildya Devi Bhandari
  • Langue officielle..........Népalais
  • Ethnies..........env. 60 (Kshatria, Brahmanes, Newar, Sherpas, Gurung...)
  • Distances..........800 km longueur et 200 largeur
  • Superficie..........147 181 km2
  • Capitale..........Kathmandu (1 500 000 ha)
  • Population totale 2022..........env. 30 millions ha
  • Densité..........206 ha./km2
  • Monnaie..........Roupie népalaise (1 =  env 0,0074 euros)
  • Indicatif Téléphonique..........+977
  • Fuseau horaire........+4h45 (France)

À savoir sur le NÉPAL...

  • Sites "PATRIMOINE UNESCO": Toute la vallée de Kathmandu incluant Durbar Square Kathamandu et Patan, Bhaktapur, les stupas bouddhistes de Swayambunath et Bodnath ainsi que les temples hindous de Pashupatinath et Changu Narayan (cliquez). Les parcs Nationaux de Chitawan et Sagarmatha et Lumbini (lieu de naissance de Bouddha).

  • L'EVEREST: de son vrai nom "Chomolungma", il est devenu en 1852 le Mont Everest en prenant le nom d'un petit officier anglais, sir John Everest, qui cartographiait simplement les Monts du Népal et leur altitude. Les légendes sont parfois surprenantes et banales !!!

  • Le YÉTI ou "l'abominable homme des neiges" pour la conscience collective. Un mythe parmi les plus connus et les plus controversés du Népal en raison des nombreux débats concernant son existence...on peut dire qu'il a fait connaître le Népal dans l'inconscient collectif de l'Humanité...existe t'il ou pas, les rumeurs se succèdent mais bien malin celui qui pourrait dire s'il l'a vu...et si je vous disais que je l ai croisé dans les rues de Kathmandu ?

  • Le DRAPEAU 🇳🇵: adopté en 1962, c'est un drapeau unique au monde, car le seul à n'être ni carré ni rectangulaire, mais composé de 2 triangles superposés, évoquant l'Himalaya et les 2 religions du pays, l'Hindouisme et le Bouddhisme. Un pays qui ne fait rien comme les autres mérite du respect non ?

ANECDOTE...

Le Népal est un des rares pays au monde à n'avoir jamais connu de Guerres de Religion et l'expulsion systématique de missionnaires n'y est certainement pas étrangère. D'ailleurs début 1998 quelques Mormons en goguette et sur de leur bêtise  sous prétexte d'aide humanitaire, ont tenté une timide évangélisation et se sont fait expulser manu militari.....non mais allo quoi !!  😂 

  • Le Mystérieux YARSAGUMBU : c'est un champignon que l'on trouve à partir de 3500m et qui pénètre le corps d'un insecte puis le dévore pour se nourrir. Mi animal mi végétal il est très recherché pour ralentir le vieillissement et ses vertus aphrodisiaques. Il se vend à des prix extravagants en Chine pour aider des vieillards excentriques libidineux et en rut à le rester. Magnifique nature humaine 👀

  • L'ALPINISME : Le Graal ultime au Népal c'est de conquérir les sommets; depuis les années 1920, nombre d'expéditions sont parties rencontrer les Dieux et ce n'est que le 29 mai 1953 que Sir Edmund Hillary et son glorieux sherpa, Tensing Norgay, sont parvenus sur le toit du monde, le Mont Everest...3 ans auparavant, cependant, "cocorico" avec les français Herzog et Lachenal vainqueurs "seulement" du Mont Annapurna. Une pensée néanmoins pour les alpinistes Mallory & Irvine (cliquez 🏔) dont on ne saura jamais s'ils ont été  les premiers à avoir diné à la table des Dieux.

  • La KUMARI : étrange petite fille élevée au rang de "déesse" et surveillée comme le lait sur le feu par une poignée de "fidèles" afin de respecter les traditions....une enfant qui ne doit exprimer ni joie ni tristesse sous peine de mauvais présage...une vie monacale et figée jusqu'à la puberté et les premières règles puis ensuite, le début de la fin, une vie souvent dépressive et socialement contrariée, coupée des autres et de la vie sociale. Une allocation à vie versée par l'état est censée "réparer" cet énorme "préjudice" psychanalitique mais le mal est déjà fait.

  • Le SÉISME 2015 :  Tout simplement le plus important séisme au monde depuis celui du Chili en 2014...la vallée de Katmandou en a payé les frais, car il a tout ravagé et fait plus de 8500 morts...chose importante l'UNESCO tend a restaurer le désastre culturel et les temples restent "présentables".

  • Les TRANSPORTS : c'est simple, la route ou les airs....ici pas de train, hallucinant non ?, juste un réseau routier apocalyptique où la loi du plus fort règne et quelques vols "aléatoires" pour les grandes distances....louer un chauffeur pour visiter semble un conseil avisé 🥴...

  • Le DOKO (appelé aussi Negalo): c'est le panier utilisé au Népal par les hommes et les femme, notamment dans les campagnes, pour porter à peu près tout, fourrage, bois, pierres, jarres d'eau, même animaux...appuyé sur le dos du porteur, le DOKO est maintenu par une sangle appelée "Namlo" passée sur le front et permettant une meilleure répartition des charges sur le corps. J'ai voulu essayer évidemment, persuadé d'être au niveau des porteurs sherpas, ben euh j'ai juste failli tomber dans le ravin en contrebas, sous les rires et moqueries justifiées mais sympathiques  des népalais...

  • L'ARMÉE Népalaise (cliquez 🧨)"plutôt mourir que vivre en lâche" Un peuple pacifiste et une armée de tueurs redoutables à la devise sans ambiguïté; je trouve ce mélange détonnant mais charmant à la fois car il est tout le symbole de ce peuple...Au service de la couronne britannique depuis plus de deux siècles, les Gurkhas (cliquez 🔪) sont considérés tout simplement comme les meilleurs soldats du monde. Un corps d'élite impitoyable à la fidélité irréprochable et dont le signe distinctif est le fameux "Khukuri" (cliquez 👀); d'ailleurs à la retraite ils peuvent prendre la nationalité britannique et s'installer au royaume de la Reine si ça leur chante...ça m'a fait penser à l'armée israélienne et mon expérience avec un garde du corps de Benyamin Netanyahu... 

Quand Partir ? :

Le Népal peut globalement se visiter toute l'année (mousson entre mi-juin et mi-septembre). Voir la chaîne de l'Himalaya reste le Graal ultime et les meilleures saisons pour apercevoir les montagnes sont d'Octobre à Avril (surtout Octobre et Novembre)...Pour notre part, nous sommes partis fin décembre et le temps s'est montré relativement clément avec nous (1 seul jour de pluie 🌧). En témoigne les photos dans le récit ci-dessous 👀 

DEVINETTE

(pour comprendre les népalais) 

(réponse en cliquant sur l'image ) :

"Pourquoi le Lotus est il l'emblème de BOUDDHA" ? 

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Tu ne peux pas voyager sur un chemin sans être toi même le chemin

Bouddha

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Un grand merci à Sunil pour son professionnalisme et son intelligence...Plutôt que de passer par une agence française qui gonflera inévitablement votre budget, essayez de trouver un réceptif agréé qui tienne la route et fera plus que l'impossible pour vous, avec cet énorme détail de relations humaines qui fait souvent la différence...

De plus, il est quasiment impossible d'être totalement indépendant pour un voyage au Népal, vous avez besoin d'un chauffeur...les routes sont effroyables et les distances rédhibitoires en bus...sauf si vous avez envie de passer votre temps dans les transports en commun, un moyen comme un autre, remarquez, de faire connaissance avec le peuple népalais...

Une Agence Réceptive que je conseille fortement si vous avez envie d'organiser vous mêmes, avec les meilleurs conseils, votre séjour....

Deux figures emblématiques de cette agence....Sunil, le patron, un grand pro et Bijen son second...le troisième visage c'est Rumnat, un porteur adorable et parfait...Deux figures emblématiques de cette agence....Sunil, le patron, un grand pro et Bijen son second...le troisième visage c'est Rumnat, un porteur adorable et parfait...Deux figures emblématiques de cette agence....Sunil, le patron, un grand pro et Bijen son second...le troisième visage c'est Rumnat, un porteur adorable et parfait...

Deux figures emblématiques de cette agence....Sunil, le patron, un grand pro et Bijen son second...le troisième visage c'est Rumnat, un porteur adorable et parfait...

L'éducation est l'arme la plus puissante qu'on puisse utiliser pour changer le monde.

Nelson MANDELA (1918-2013)

Ah sujet très important..Le nerf de la guerre, l'étincelle de l'espoir, la voie à suivre...l'ÉDUCATION, car c'est le début du rêve, la base d'une société équilibrée, du respect des mailles et de la fameuse poésie d'un peuple, chère à Victor HUGO....chaque voyage, j'essaye de comprendre la synergie de la société que je visite, dans laquelle je me projette, ressentir et comprendre le lien subtil qui unit les couches sociales...la société dans laquelle je vis est tellement à l'envers que je suis rarement déçu, surtout en Asie....chez moi, c'est simple, tout le monde fait semblant de s'aimer mais tout le monde s'épie, se jalouse, se compare, se déteste ou s'envie..bref un échec sociétal total, le parangon de l'orgueil, de l'ignorance et du mal être....un théâtre permanent de marionnettes....Une société sans idéal mais pleine de convictions, je trouve la formule parfaite car elle résume bien son état d'esprit....

J'aime visiter les écoles dès que je peux, regarder les enfants découvrir, ressentir l'atmosphère d'une classe, sentir la joie d'apprendre, l'enthousiasme de leur Liberté bien au delà des peurs et des angoisses de la compétitivité....c'est le moment où je comprends le mieux le pays, où je ressens ses vibrations et son état d'esprit...

À ma grande surprise, à proximité des écoles, beaucoup d'exemples de parcours de Vie de personnalités célèbres, de tous bords et nationalités, il y a même une phrase d'Adolphe HITLER pleine de sarcasme et d'humour, mais sans tabou, sur l'Humilité et la pudeur de l'existence, sur l'ambition et l'orgueil....chaque jour les enfants peuvent se confronter à des pensées et des parcours divers, faire leur propre choix, dans un parfait libre-arbitre en adéquation avec leur philosophie.  Du moins c'est mon ressenti !!!
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Une école en travaux, du préfabriqué en substitut, (sans doute le séisme de 2015), il en faut beaucoup plus pour dérégler l'éducation et amener le découragement...un accueil de Rock Stars, un moment passé à regarder un cours d'anglais haut en couleur, il a fallu peu de temps pour comprendre la richesse de ce peuple à travers son éducation.
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Les fameux uniformes d'écolier, de la cravate à la blouse en passant par le survêtement, mais toujours cette envie d'étudier et de savoir, de découvrir et surtout d'être heureux. Ici on recule pas, on avance, on ne baisse jamais la tête, on sourit.Les fameux uniformes d'écolier, de la cravate à la blouse en passant par le survêtement, mais toujours cette envie d'étudier et de savoir, de découvrir et surtout d'être heureux. Ici on recule pas, on avance, on ne baisse jamais la tête, on sourit.
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Les fameux uniformes d'écolier, de la cravate à la blouse en passant par le survêtement, mais toujours cette envie d'étudier et de savoir, de découvrir et surtout d'être heureux. Ici on recule pas, on avance, on ne baisse jamais la tête, on sourit.

Dieu était partout, et les « voyageurs » venus le chercher de si loin ne le trouvaient nulle part, parce qu'ils oubliaient de le chercher en eux-mêmes.

René BARJAVEL (Les chemins de Katmandou 1969)

KATHMANDU, le centre bouillonnant de la Culture et de l'Histoire du Népal...le nom de cette ville résonne de multiples réputations et légendes.....l'antithèse de notre monde occidental si prévisible, une porte ouverte sur l'invisible avec le doux parfum de la spiritualité et du mystère comme effluve...dès son arrivée, on est séduit par l'insouciance, la douceur et la gaieté ambiante, par les couleurs, les odeurs et les scènes de vie dans les bazars des rues. Le peuple népalais nous offre sa gentillesse, son sourire, sa bonne humeur permanente et on est très vite interpellé par cette leçon de vie, cette appréhension de l'existence si différente de notre rugueuse société occidentale...

Moi qui suis toujours sur le qui vive, défensif et prêt à parer une attaque, je me suis questionné sur mon comportement totalement antinomique au leur, agrémenté par les remarques de ma compagne, Anne, bien mieux construite et douce que je ne le suis ; tout est synergie ici, tout se fond pour ne former qu'une énergie compacte et fluide qui représente finalement parfaitement le peuple népalais....il suffit d'observer leur façon de conduire, si anarchique en apparence mais merveilleusement orchestrée sur le fond....pas un mot, pas d'énervement, pas d'énergie perdue, chacun épouse le temps et si les malins ou les plus forts essayent de se faufiler, si les Klaxons rivalisent  de sonorité, ce n'est que par jeu et rituel....

Et puis inséparable de Khatmandu, PATAN, dans le district de Lalitpur "la ville gracieuse", la ville "aux mille toits d'or", la cité des Arts, d'une incroyable richesse artistique, l'endroit où nous logions.

La "petite cité de bois" (traduction de Kathmandu) conserve dans ses rues ce côté médiéval qui la rend si charmante et séduisante. Le labyrinthe semble inépuisable d'odeurs et de couleurs, chaque chemin semble mener à un trésor caché et pour le découvrir on se met à fouiner, écouter, on vagabonde et on se perd dans les vieilles ruelles et les moindres recoins. Tout est improbable et on est vite envouté, voire enivré, par l'ambiance, l'effervescence et les scènes de vie. 

Une orgie de couleurs, un dentiste prêt à opérer dans la plus grande simplicité, un magasin de musique où les instruments s'accordent comme un "bonjour", un téléphone réparé comme on lace un soulier, au détour d'une rue un temple qui vous regarde pour vous rappeler l'humilité de l'existence comme le fidèle serviteur de Marc Aurèle et quelques travailleurs, marchands ou colporteurs qui décorent et embellissent les rues comme le grain de beauté de Marylin sa bouche...c'est aussi ça Kathmandu.... Une orgie de couleurs, un dentiste prêt à opérer dans la plus grande simplicité, un magasin de musique où les instruments s'accordent comme un "bonjour", un téléphone réparé comme on lace un soulier, au détour d'une rue un temple qui vous regarde pour vous rappeler l'humilité de l'existence comme le fidèle serviteur de Marc Aurèle et quelques travailleurs, marchands ou colporteurs qui décorent et embellissent les rues comme le grain de beauté de Marylin sa bouche...c'est aussi ça Kathmandu.... Une orgie de couleurs, un dentiste prêt à opérer dans la plus grande simplicité, un magasin de musique où les instruments s'accordent comme un "bonjour", un téléphone réparé comme on lace un soulier, au détour d'une rue un temple qui vous regarde pour vous rappeler l'humilité de l'existence comme le fidèle serviteur de Marc Aurèle et quelques travailleurs, marchands ou colporteurs qui décorent et embellissent les rues comme le grain de beauté de Marylin sa bouche...c'est aussi ça Kathmandu....
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Une orgie de couleurs, un dentiste prêt à opérer dans la plus grande simplicité, un magasin de musique où les instruments s'accordent comme un "bonjour", un téléphone réparé comme on lace un soulier, au détour d'une rue un temple qui vous regarde pour vous rappeler l'humilité de l'existence comme le fidèle serviteur de Marc Aurèle et quelques travailleurs, marchands ou colporteurs qui décorent et embellissent les rues comme le grain de beauté de Marylin sa bouche...c'est aussi ça Kathmandu....

Peut être pas la visite la plus marquante de Kathmandu surtout en comparaison avec celui de Patan, pour moi beaucoup plus puissant mais un souvenir sympathique quand même...C'est un tour assez rapide, l'attente impatiente et révérencieuse dans la Kumari Ghar de sa déesse, la confrontation avec un bouc tellement en colère qu'il a éventré mon anorak, des enfants heureux jouant avec des pigeons et l'ancien Palais Royal témoin de tant de faste...  

La Kumari Ghar, c'est la maison qui abrite la KUMARI, la déesse vivante du Népal, "exposée" dans ce temple du quartier...un moment étrange dans ce petit temple, une impression écrasante, tout le contraire de ce que la spiritualité évoque...une petite fille dans un petit endroit, semblant prisonnière du passé et ses croyances, l'enfance bloquée et les fluides contrariés...voilà le ressenti de ce moment où j'ai cotoyé "une déesse" comme je regarde un animal en cage...J'ai mis un visage triste et dur sur cette illustration, car c'est exactement l'expression que j'ai aperçu dans l'encadrement de cette fenêtre pendant quelques secondes.....le sentiment confus d'une résignation ou d'un rôle ambigu écrasant qui la dépasse.....La Kumari Ghar, c'est la maison qui abrite la KUMARI, la déesse vivante du Népal, "exposée" dans ce temple du quartier...un moment étrange dans ce petit temple, une impression écrasante, tout le contraire de ce que la spiritualité évoque...une petite fille dans un petit endroit, semblant prisonnière du passé et ses croyances, l'enfance bloquée et les fluides contrariés...voilà le ressenti de ce moment où j'ai cotoyé "une déesse" comme je regarde un animal en cage...J'ai mis un visage triste et dur sur cette illustration, car c'est exactement l'expression que j'ai aperçu dans l'encadrement de cette fenêtre pendant quelques secondes.....le sentiment confus d'une résignation ou d'un rôle ambigu écrasant qui la dépasse.....

La Kumari Ghar, c'est la maison qui abrite la KUMARI, la déesse vivante du Népal, "exposée" dans ce temple du quartier...un moment étrange dans ce petit temple, une impression écrasante, tout le contraire de ce que la spiritualité évoque...une petite fille dans un petit endroit, semblant prisonnière du passé et ses croyances, l'enfance bloquée et les fluides contrariés...voilà le ressenti de ce moment où j'ai cotoyé "une déesse" comme je regarde un animal en cage...J'ai mis un visage triste et dur sur cette illustration, car c'est exactement l'expression que j'ai aperçu dans l'encadrement de cette fenêtre pendant quelques secondes.....le sentiment confus d'une résignation ou d'un rôle ambigu écrasant qui la dépasse.....

Le temple de TALEJU, considéré comme le plus beau et vieux de près de 500 ans, réservé exclusivement aux hindous, le PALAIS ROYAL en rénovation, le sanctuaire KAL BHAIRAV, utilisé paraît il pour faire jurer la vérité, voici quelques temples du quartier parmi les plus réputés...Le temple de TALEJU, considéré comme le plus beau et vieux de près de 500 ans, réservé exclusivement aux hindous, le PALAIS ROYAL en rénovation, le sanctuaire KAL BHAIRAV, utilisé paraît il pour faire jurer la vérité, voici quelques temples du quartier parmi les plus réputés...Le temple de TALEJU, considéré comme le plus beau et vieux de près de 500 ans, réservé exclusivement aux hindous, le PALAIS ROYAL en rénovation, le sanctuaire KAL BHAIRAV, utilisé paraît il pour faire jurer la vérité, voici quelques temples du quartier parmi les plus réputés...
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Le temple de TALEJU, considéré comme le plus beau et vieux de près de 500 ans, réservé exclusivement aux hindous, le PALAIS ROYAL en rénovation, le sanctuaire KAL BHAIRAV, utilisé paraît il pour faire jurer la vérité, voici quelques temples du quartier parmi les plus réputés...

A côté du temple de Narayan Mohan, cet immense bâtiment blanc ci-dessus reste un souvenir amer pour les népalais puisque des colons anglais ont selon la mémoire ancestrale détruit un temple pour ériger ce parlement occidental néoclassique et anachronique, comme un affront aux croyances et convictions locales, un acte de domination d'une vulgarité sans nom, un pied salement posé sur le respect d'un peuple...et puis Mahendreswor Temple, dédicacé à Shiva et l'un des plus connu de la vallée, enfin la place Basantapur et ses échoppes aux souvenirs, quelques structures qui nous rappellent avec tristesse l'année 2015, et  des marchands qui rivalisent de couleurs avec leurs fleurs...A côté du temple de Narayan Mohan, cet immense bâtiment blanc ci-dessus reste un souvenir amer pour les népalais puisque des colons anglais ont selon la mémoire ancestrale détruit un temple pour ériger ce parlement occidental néoclassique et anachronique, comme un affront aux croyances et convictions locales, un acte de domination d'une vulgarité sans nom, un pied salement posé sur le respect d'un peuple...et puis Mahendreswor Temple, dédicacé à Shiva et l'un des plus connu de la vallée, enfin la place Basantapur et ses échoppes aux souvenirs, quelques structures qui nous rappellent avec tristesse l'année 2015, et  des marchands qui rivalisent de couleurs avec leurs fleurs...A côté du temple de Narayan Mohan, cet immense bâtiment blanc ci-dessus reste un souvenir amer pour les népalais puisque des colons anglais ont selon la mémoire ancestrale détruit un temple pour ériger ce parlement occidental néoclassique et anachronique, comme un affront aux croyances et convictions locales, un acte de domination d'une vulgarité sans nom, un pied salement posé sur le respect d'un peuple...et puis Mahendreswor Temple, dédicacé à Shiva et l'un des plus connu de la vallée, enfin la place Basantapur et ses échoppes aux souvenirs, quelques structures qui nous rappellent avec tristesse l'année 2015, et  des marchands qui rivalisent de couleurs avec leurs fleurs...
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PATAN, un véritable coup de coeur avec un petit hôtel en bois plein de charme à l'eau délicieusement froide, en plein dans le vieux quartier, à quelques pas de Durbar Square; des rues aussi subtiles qu'une broderie et aussi mystérieuses que le moyen âge, une ambiance que l'on ne trouve que dans les films et où règne le doux murmure de l'art et de l'inconnu...un clin d'oeil au film "Docteur Strange" où notre héros passe un test initiatique à Kathmandu pour devenir un "chaman" occidental  aux pouvoirs illimités qui montrera la voie...

Le quartier de Durbar Square, le soir ou la journée, véhicule toujours cette douceur et le rythme suave des flâneurs qui profitent du temps présent; pas d'emphase ni de show, juste la simplicité avec cette cuisinière du soir, puis la place de Durbar Square, d'une beauté inoubliable avec ses ballets de pigeons, parfaits figurants dans ce décor somptueux !!!Le quartier de Durbar Square, le soir ou la journée, véhicule toujours cette douceur et le rythme suave des flâneurs qui profitent du temps présent; pas d'emphase ni de show, juste la simplicité avec cette cuisinière du soir, puis la place de Durbar Square, d'une beauté inoubliable avec ses ballets de pigeons, parfaits figurants dans ce décor somptueux !!!Le quartier de Durbar Square, le soir ou la journée, véhicule toujours cette douceur et le rythme suave des flâneurs qui profitent du temps présent; pas d'emphase ni de show, juste la simplicité avec cette cuisinière du soir, puis la place de Durbar Square, d'une beauté inoubliable avec ses ballets de pigeons, parfaits figurants dans ce décor somptueux !!!
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Le quartier de Durbar Square, le soir ou la journée, véhicule toujours cette douceur et le rythme suave des flâneurs qui profitent du temps présent; pas d'emphase ni de show, juste la simplicité avec cette cuisinière du soir, puis la place de Durbar Square, d'une beauté inoubliable avec ses ballets de pigeons, parfaits figurants dans ce décor somptueux !!!

Ici pas de bouche, Bouddha voit tout et sait tout, il ne parle jamais....J'aime bien cette idée du silence, moi qui supporte de moins en moins de parler, qui regarde effaré ce flot ininterrompu de paroles sortir de la bouche de mes semblables, souvent vides de sens, juste un cri d'angoisse, le couinement d'une porte qui ferme mal, une onde vulgaire, une musicalité bâclée qui se perd dans le vide sans ondulation ni géométrie.

Le premier temple visité à Khatmandu, "le temple des singes", appelé ainsi car ils sont partout; j'aime les regarder car ils sont spontanés et leur tendresse naturelle les rend souvent attachants et plus humains que nous...pas de stratégie, pas d'inhibitions, ils vivent comme "bonjour" et s'expriment sans peur juste avec l'instinct du "libre arbitre"...et puis le temple lui même, drapé d'or et de respect, orné des drapeaux à prières partout, parfois avec outrance mais toujours là pour rappeler l'importance de la spiritualité dans les choix du quotidien...un moulin a prières qui tourne toute la journée et des pensées qui s'évadent dans le temps et l'espace pour certainement récupérer les âmes étourdies ou perdues... Le premier temple visité à Khatmandu, "le temple des singes", appelé ainsi car ils sont partout; j'aime les regarder car ils sont spontanés et leur tendresse naturelle les rend souvent attachants et plus humains que nous...pas de stratégie, pas d'inhibitions, ils vivent comme "bonjour" et s'expriment sans peur juste avec l'instinct du "libre arbitre"...et puis le temple lui même, drapé d'or et de respect, orné des drapeaux à prières partout, parfois avec outrance mais toujours là pour rappeler l'importance de la spiritualité dans les choix du quotidien...un moulin a prières qui tourne toute la journée et des pensées qui s'évadent dans le temps et l'espace pour certainement récupérer les âmes étourdies ou perdues... Le premier temple visité à Khatmandu, "le temple des singes", appelé ainsi car ils sont partout; j'aime les regarder car ils sont spontanés et leur tendresse naturelle les rend souvent attachants et plus humains que nous...pas de stratégie, pas d'inhibitions, ils vivent comme "bonjour" et s'expriment sans peur juste avec l'instinct du "libre arbitre"...et puis le temple lui même, drapé d'or et de respect, orné des drapeaux à prières partout, parfois avec outrance mais toujours là pour rappeler l'importance de la spiritualité dans les choix du quotidien...un moulin a prières qui tourne toute la journée et des pensées qui s'évadent dans le temps et l'espace pour certainement récupérer les âmes étourdies ou perdues...
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Le premier temple visité à Khatmandu, "le temple des singes", appelé ainsi car ils sont partout; j'aime les regarder car ils sont spontanés et leur tendresse naturelle les rend souvent attachants et plus humains que nous...pas de stratégie, pas d'inhibitions, ils vivent comme "bonjour" et s'expriment sans peur juste avec l'instinct du "libre arbitre"...et puis le temple lui même, drapé d'or et de respect, orné des drapeaux à prières partout, parfois avec outrance mais toujours là pour rappeler l'importance de la spiritualité dans les choix du quotidien...un moulin a prières qui tourne toute la journée et des pensées qui s'évadent dans le temps et l'espace pour certainement récupérer les âmes étourdies ou perdues...

Un jeune garçon s'appliquant à allumer et entretenir les bougies déposées, comme une étincelle de l'âme auprès des Dieux, et une jolie chanteuse dans un décors spirituel sous le regard de Bouddha, toujours là pour surveiller et veiller...les regards sont beaux, les yeux grands ouverts et l'âme offerte, c'est un cadeau merveilleux que nous offrent les népalais.Un jeune garçon s'appliquant à allumer et entretenir les bougies déposées, comme une étincelle de l'âme auprès des Dieux, et une jolie chanteuse dans un décors spirituel sous le regard de Bouddha, toujours là pour surveiller et veiller...les regards sont beaux, les yeux grands ouverts et l'âme offerte, c'est un cadeau merveilleux que nous offrent les népalais.Un jeune garçon s'appliquant à allumer et entretenir les bougies déposées, comme une étincelle de l'âme auprès des Dieux, et une jolie chanteuse dans un décors spirituel sous le regard de Bouddha, toujours là pour surveiller et veiller...les regards sont beaux, les yeux grands ouverts et l'âme offerte, c'est un cadeau merveilleux que nous offrent les népalais.

Un jeune garçon s'appliquant à allumer et entretenir les bougies déposées, comme une étincelle de l'âme auprès des Dieux, et une jolie chanteuse dans un décors spirituel sous le regard de Bouddha, toujours là pour surveiller et veiller...les regards sont beaux, les yeux grands ouverts et l'âme offerte, c'est un cadeau merveilleux que nous offrent les népalais.

Un centre de pèlerinage et de crémation, certainement l'un des lieux les plus plus sacrés du pays, situé au bord de la rivière Bagmati, cours d'eau sacré qui se jette évidemment dans le.......Gange (bravo). Un petit et modeste VARANASI (cliquez) avec des Ghâts où les familles viennent accompagner leurs défunts lors de cérémonies crématoires. Une ambiance feutrée mais sympathique au milieu de singes espiègles et joueurs, peu concernés par les rituels humains et dans cette ritournelle spirituelle, une étrange scission entre les riches et les pauvres avec des Ghats séparés par un pont façon "Rialto"...une atmosphère très spéciale, d'apaisement, de recueil et de solennité où la Vie et la Mort s'enlacent, s'amusent, prennent le temps et on finit par ne plus bien savoir où sont le début et la fin de toute chose... 

Fenêtres miroir qui s'alignent comme un ballet de natation synchronisée, quelques graffitis pleins de vie racontant des légendes passionnantes, un clochard céleste de la rive du Gange, un Sadhu rieur, dégagé des affres de l'existence et perché sur cimes inconnues, un peu à l'écart, un lieu très masculin mais discret, de recueillement peut être, et les ghats où mourir n'est angoissant que pour les vivants, voilà un court résumé de cet endroit surprenant qui se visite comme un musée !!!Fenêtres miroir qui s'alignent comme un ballet de natation synchronisée, quelques graffitis pleins de vie racontant des légendes passionnantes, un clochard céleste de la rive du Gange, un Sadhu rieur, dégagé des affres de l'existence et perché sur cimes inconnues, un peu à l'écart, un lieu très masculin mais discret, de recueillement peut être, et les ghats où mourir n'est angoissant que pour les vivants, voilà un court résumé de cet endroit surprenant qui se visite comme un musée !!!Fenêtres miroir qui s'alignent comme un ballet de natation synchronisée, quelques graffitis pleins de vie racontant des légendes passionnantes, un clochard céleste de la rive du Gange, un Sadhu rieur, dégagé des affres de l'existence et perché sur cimes inconnues, un peu à l'écart, un lieu très masculin mais discret, de recueillement peut être, et les ghats où mourir n'est angoissant que pour les vivants, voilà un court résumé de cet endroit surprenant qui se visite comme un musée !!!
Fenêtres miroir qui s'alignent comme un ballet de natation synchronisée, quelques graffitis pleins de vie racontant des légendes passionnantes, un clochard céleste de la rive du Gange, un Sadhu rieur, dégagé des affres de l'existence et perché sur cimes inconnues, un peu à l'écart, un lieu très masculin mais discret, de recueillement peut être, et les ghats où mourir n'est angoissant que pour les vivants, voilà un court résumé de cet endroit surprenant qui se visite comme un musée !!!Fenêtres miroir qui s'alignent comme un ballet de natation synchronisée, quelques graffitis pleins de vie racontant des légendes passionnantes, un clochard céleste de la rive du Gange, un Sadhu rieur, dégagé des affres de l'existence et perché sur cimes inconnues, un peu à l'écart, un lieu très masculin mais discret, de recueillement peut être, et les ghats où mourir n'est angoissant que pour les vivants, voilà un court résumé de cet endroit surprenant qui se visite comme un musée !!!Fenêtres miroir qui s'alignent comme un ballet de natation synchronisée, quelques graffitis pleins de vie racontant des légendes passionnantes, un clochard céleste de la rive du Gange, un Sadhu rieur, dégagé des affres de l'existence et perché sur cimes inconnues, un peu à l'écart, un lieu très masculin mais discret, de recueillement peut être, et les ghats où mourir n'est angoissant que pour les vivants, voilà un court résumé de cet endroit surprenant qui se visite comme un musée !!!
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Fenêtres miroir qui s'alignent comme un ballet de natation synchronisée, quelques graffitis pleins de vie racontant des légendes passionnantes, un clochard céleste de la rive du Gange, un Sadhu rieur, dégagé des affres de l'existence et perché sur cimes inconnues, un peu à l'écart, un lieu très masculin mais discret, de recueillement peut être, et les ghats où mourir n'est angoissant que pour les vivants, voilà un court résumé de cet endroit surprenant qui se visite comme un musée !!!

L'un des plus grands sanctuaires bouddhiques de la vallée et le plus grand Stupa du pays, rien que ça...un monument immense et pour tout dire j'aime cette démesure dans les pays d'Asie car elle me fait penser à une "propagande" spirituelle sympathique, une communication assez saine sur la façon de penser et d'agir, une sorte de garde-fou sur les errances du corps, les turpitudes de l'âme et la "condition humaine"...la démesure est agencée pour rappeler l'omniprésence de l'esprit sur le corps et notre nature intrinsèque, on peut dire relativement "alambiquée"... j'ai en mémoire le bouddha couché de Chaukhtatgyi, cet immense statue rieuse et vénérée de la tête au pied au MYANMAR (cliquez).

Là où nous, occidentaux, sommes conditionnés pour la facilité, où posséder une voiture est érigé comme le moyen le plus court pour mener à l'éveil spirituel, où la fortune et le bonheur nous sont promis dans la "gaudriole" en pariant à des jeux aléatoires qui nous plumeront l'Être et le reste, eux ont choisi l'ÉDUCATION de l'âme comme fil directeur à l'Existence...alors certes l'oeil inquisiteur de la pensée suprême est là pour surveiller mais nul mal à autrui n'est encouragé et nulle pensée d'envie ou de jalousie n'est exacerbée, et si elle apparait elle est très rapidement diluée et éteinte dans une pensée globale et collective...pour moi le choix est vite fait !!!

J'ai mis du temps à comprendre l'outrance des symboles spirituels en Asie, puis j'ai admis que ces pays avaient assimilé depuis longtemps l'importance de "juguler" ou contrarier spirituellement la nature humaine au service d'une atmosphère collective...un peu ce que les églises représentaient dans nos campagnes pour éviter des individualismes destructeurs, avant que le pouvoir de l'image, et la paresse de l'âme n'emportent  tout sur son passage.

ici Bouddha est partout, il surveille, indique, planifie, organise la vie mais ne le crie jamais, il regarde et le silence est la valeur ultime...ça ne me déplait pas, moi qui déteste la parole, la réthorique des impuissants, l'arme des sournois, l'antithèse de l'esprit, le revers de la médaille, l'un des maux de notre Histoire.ici Bouddha est partout, il surveille, indique, planifie, organise la vie mais ne le crie jamais, il regarde et le silence est la valeur ultime...ça ne me déplait pas, moi qui déteste la parole, la réthorique des impuissants, l'arme des sournois, l'antithèse de l'esprit, le revers de la médaille, l'un des maux de notre Histoire.ici Bouddha est partout, il surveille, indique, planifie, organise la vie mais ne le crie jamais, il regarde et le silence est la valeur ultime...ça ne me déplait pas, moi qui déteste la parole, la réthorique des impuissants, l'arme des sournois, l'antithèse de l'esprit, le revers de la médaille, l'un des maux de notre Histoire.
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Un petit temple réputé aussi pour la taille de sa statue (5 mètres), le dieu VISHNU (cliquez 🙏🏽), tranquillement allongé en train de préparer "le prochain monde" et acceptant les offrandes des fidèles...voilà le souvenir que j'ai de cette visite...c est l'histoire d'une croyance aussi puisque le roi du Népal ne pouvait visiter ce temple sous peine de mourir face à sa propre image...je souris toujours de ces légendes, un peu comme celle de la Kumari, mais toujours avec respect car ce peuple, bourré de croyances et très peu pragmatique, dégage ce parfum de douceur et de synergie que je chérie dans mes plus folles espérances quant au devenir de l'humanité...

Je retiendrai plus volontiers les "à cotés" du temple, avec des scènes de Vie (ci-dessous) passionnantes et requinquantes...les gens sont heureux et ce bonheur est communicatif, il chasse vos frustrations occidentales et remet l'âme à l'endroit, la place qu'elle a à sa naissance... 

Un petit temple qui se visite très vite avec une cérémonie à l'entrée, sans explication, une prière à Vishnu parodiée par un singe simplement friand de cire, le  "grand" Dieu Vishnu drapée de fleurs et allongée sur un lit de serpents dans un petit étang imposant quiétude et paix...et puis les rues adjacentes, des intervalles pleins de richesse, avec une école surprenante et des injonctions puissantes, la roue de l'existence karmique ou Bhavacakra pour nous rappeler le tourbillon des existences, et quelques figures sympathiques... Un petit temple qui se visite très vite avec une cérémonie à l'entrée, sans explication, une prière à Vishnu parodiée par un singe simplement friand de cire, le  "grand" Dieu Vishnu drapée de fleurs et allongée sur un lit de serpents dans un petit étang imposant quiétude et paix...et puis les rues adjacentes, des intervalles pleins de richesse, avec une école surprenante et des injonctions puissantes, la roue de l'existence karmique ou Bhavacakra pour nous rappeler le tourbillon des existences, et quelques figures sympathiques... Un petit temple qui se visite très vite avec une cérémonie à l'entrée, sans explication, une prière à Vishnu parodiée par un singe simplement friand de cire, le  "grand" Dieu Vishnu drapée de fleurs et allongée sur un lit de serpents dans un petit étang imposant quiétude et paix...et puis les rues adjacentes, des intervalles pleins de richesse, avec une école surprenante et des injonctions puissantes, la roue de l'existence karmique ou Bhavacakra pour nous rappeler le tourbillon des existences, et quelques figures sympathiques...
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Un petit temple qui se visite très vite avec une cérémonie à l'entrée, sans explication, une prière à Vishnu parodiée par un singe simplement friand de cire, le "grand" Dieu Vishnu drapée de fleurs et allongée sur un lit de serpents dans un petit étang imposant quiétude et paix...et puis les rues adjacentes, des intervalles pleins de richesse, avec une école surprenante et des injonctions puissantes, la roue de l'existence karmique ou Bhavacakra pour nous rappeler le tourbillon des existences, et quelques figures sympathiques...

L'important n'est pas de convaincre, mais de donner à réfléchir

Bernard WEBER

Nagarkot, c'est l'histoire d'une bonne douche chaude dans un magnifique hôtel princier (cliquez ici pour l'adresse ❤️), d'un entraînement ou d'une sélection rigoureuse de soldats Gurkhas sur les routes des montagnes, allez savoir, et d'une balade champêtre de quelques heures, presque jusqu'au temple hindouiste de Changu Narayan (5ème siècle) en haut du petit village du même nom. Peu de choses à retenir donc de cette petite station de montagne, une étape assez quelconque en fait avec un lever de soleil qui se fait attendre et la chaîne de l'Himalaya boudeuse, mais en même temps une merveilleuse répétition pour la poésie qui allait accompagner le reste du séjour... place à Bhaktapur la Délicieuse. 

Une petite randonnée au départ de Nagarkot dans la campagne népalaise et l'occasion de visiter une école, rencontrer les enfants, observer des animaux heureux,  croiser des figures locales, un ingénieur des routes armé d'un instrument de mesure dernier cri, un BAMBOU, une vieille dame faisant sa marche matinale et puis un peu plus loin, perdu au milieu de nulle part, un temple hindouiste champêtre où un groupe d'hommes chantaient, heureux de se retrouver...
Une petite randonnée au départ de Nagarkot dans la campagne népalaise et l'occasion de visiter une école, rencontrer les enfants, observer des animaux heureux,  croiser des figures locales, un ingénieur des routes armé d'un instrument de mesure dernier cri, un BAMBOU, une vieille dame faisant sa marche matinale et puis un peu plus loin, perdu au milieu de nulle part, un temple hindouiste champêtre où un groupe d'hommes chantaient, heureux de se retrouver...Une petite randonnée au départ de Nagarkot dans la campagne népalaise et l'occasion de visiter une école, rencontrer les enfants, observer des animaux heureux,  croiser des figures locales, un ingénieur des routes armé d'un instrument de mesure dernier cri, un BAMBOU, une vieille dame faisant sa marche matinale et puis un peu plus loin, perdu au milieu de nulle part, un temple hindouiste champêtre où un groupe d'hommes chantaient, heureux de se retrouver...Une petite randonnée au départ de Nagarkot dans la campagne népalaise et l'occasion de visiter une école, rencontrer les enfants, observer des animaux heureux,  croiser des figures locales, un ingénieur des routes armé d'un instrument de mesure dernier cri, un BAMBOU, une vieille dame faisant sa marche matinale et puis un peu plus loin, perdu au milieu de nulle part, un temple hindouiste champêtre où un groupe d'hommes chantaient, heureux de se retrouver...
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Une petite randonnée au départ de Nagarkot dans la campagne népalaise et l'occasion de visiter une école, rencontrer les enfants, observer des animaux heureux, croiser des figures locales, un ingénieur des routes armé d'un instrument de mesure dernier cri, un BAMBOU, une vieille dame faisant sa marche matinale et puis un peu plus loin, perdu au milieu de nulle part, un temple hindouiste champêtre où un groupe d'hommes chantaient, heureux de se retrouver...

Un musicien sympathique et souriant et un chanteur intrigué, dans un petit lieu de prière en pleine campagne (ci-dessus), une dame au visage sévère et le regard glacial, certainement "victime" d'un passé que je devine dur voire violent puis un berger à l'enfance certainement plus heureuse, nourrissant ses chèvres et fier de son chevreau de quelques jours.
Un musicien sympathique et souriant et un chanteur intrigué, dans un petit lieu de prière en pleine campagne (ci-dessus), une dame au visage sévère et le regard glacial, certainement "victime" d'un passé que je devine dur voire violent puis un berger à l'enfance certainement plus heureuse, nourrissant ses chèvres et fier de son chevreau de quelques jours.Un musicien sympathique et souriant et un chanteur intrigué, dans un petit lieu de prière en pleine campagne (ci-dessus), une dame au visage sévère et le regard glacial, certainement "victime" d'un passé que je devine dur voire violent puis un berger à l'enfance certainement plus heureuse, nourrissant ses chèvres et fier de son chevreau de quelques jours.Un musicien sympathique et souriant et un chanteur intrigué, dans un petit lieu de prière en pleine campagne (ci-dessus), une dame au visage sévère et le regard glacial, certainement "victime" d'un passé que je devine dur voire violent puis un berger à l'enfance certainement plus heureuse, nourrissant ses chèvres et fier de son chevreau de quelques jours.

Un musicien sympathique et souriant et un chanteur intrigué, dans un petit lieu de prière en pleine campagne (ci-dessus), une dame au visage sévère et le regard glacial, certainement "victime" d'un passé que je devine dur voire violent puis un berger à l'enfance certainement plus heureuse, nourrissant ses chèvres et fier de son chevreau de quelques jours.

À quelques pas de Bhaktapur, après avoir repris la voiture, au sommet du village du même nom, le merveilleux temple de CHANGU NARAYAN, un musée à ciel ouvert classé patrimoine UNESCO, tout simplement le plus ancien temple hindou de la vallée de Kathmandu en activité, malheureusement abimé par le séisme de 2015. Nous voilà au milieu de l'Histoire, seuls, juste avec quelques ouvriers restaurant l'ouvrage, avant qu'un horde d'étudiants sortant de l'école, envahissent le lieu pour une photo de classe au milieu des éléphants, ravis de l'aubaine. En effet ce temple est gardé de tous les côtés par des couples d'animaux mythiques ou réels, éléphants, lions ailés, griffons à cornes de bélier.À quelques pas de Bhaktapur, après avoir repris la voiture, au sommet du village du même nom, le merveilleux temple de CHANGU NARAYAN, un musée à ciel ouvert classé patrimoine UNESCO, tout simplement le plus ancien temple hindou de la vallée de Kathmandu en activité, malheureusement abimé par le séisme de 2015. Nous voilà au milieu de l'Histoire, seuls, juste avec quelques ouvriers restaurant l'ouvrage, avant qu'un horde d'étudiants sortant de l'école, envahissent le lieu pour une photo de classe au milieu des éléphants, ravis de l'aubaine. En effet ce temple est gardé de tous les côtés par des couples d'animaux mythiques ou réels, éléphants, lions ailés, griffons à cornes de bélier.À quelques pas de Bhaktapur, après avoir repris la voiture, au sommet du village du même nom, le merveilleux temple de CHANGU NARAYAN, un musée à ciel ouvert classé patrimoine UNESCO, tout simplement le plus ancien temple hindou de la vallée de Kathmandu en activité, malheureusement abimé par le séisme de 2015. Nous voilà au milieu de l'Histoire, seuls, juste avec quelques ouvriers restaurant l'ouvrage, avant qu'un horde d'étudiants sortant de l'école, envahissent le lieu pour une photo de classe au milieu des éléphants, ravis de l'aubaine. En effet ce temple est gardé de tous les côtés par des couples d'animaux mythiques ou réels, éléphants, lions ailés, griffons à cornes de bélier.
À quelques pas de Bhaktapur, après avoir repris la voiture, au sommet du village du même nom, le merveilleux temple de CHANGU NARAYAN, un musée à ciel ouvert classé patrimoine UNESCO, tout simplement le plus ancien temple hindou de la vallée de Kathmandu en activité, malheureusement abimé par le séisme de 2015. Nous voilà au milieu de l'Histoire, seuls, juste avec quelques ouvriers restaurant l'ouvrage, avant qu'un horde d'étudiants sortant de l'école, envahissent le lieu pour une photo de classe au milieu des éléphants, ravis de l'aubaine. En effet ce temple est gardé de tous les côtés par des couples d'animaux mythiques ou réels, éléphants, lions ailés, griffons à cornes de bélier.À quelques pas de Bhaktapur, après avoir repris la voiture, au sommet du village du même nom, le merveilleux temple de CHANGU NARAYAN, un musée à ciel ouvert classé patrimoine UNESCO, tout simplement le plus ancien temple hindou de la vallée de Kathmandu en activité, malheureusement abimé par le séisme de 2015. Nous voilà au milieu de l'Histoire, seuls, juste avec quelques ouvriers restaurant l'ouvrage, avant qu'un horde d'étudiants sortant de l'école, envahissent le lieu pour une photo de classe au milieu des éléphants, ravis de l'aubaine. En effet ce temple est gardé de tous les côtés par des couples d'animaux mythiques ou réels, éléphants, lions ailés, griffons à cornes de bélier.

À quelques pas de Bhaktapur, après avoir repris la voiture, au sommet du village du même nom, le merveilleux temple de CHANGU NARAYAN, un musée à ciel ouvert classé patrimoine UNESCO, tout simplement le plus ancien temple hindou de la vallée de Kathmandu en activité, malheureusement abimé par le séisme de 2015. Nous voilà au milieu de l'Histoire, seuls, juste avec quelques ouvriers restaurant l'ouvrage, avant qu'un horde d'étudiants sortant de l'école, envahissent le lieu pour une photo de classe au milieu des éléphants, ravis de l'aubaine. En effet ce temple est gardé de tous les côtés par des couples d'animaux mythiques ou réels, éléphants, lions ailés, griffons à cornes de bélier.

Le Bonheur n'est pas chose aisée, il est très difficile de le trouver en nous; mais il est impossible de le trouver ailleurs.

BOUDDHA

ATTENTION coup de coeur ❤️..la plus belle ville certainement de la vallée de Kathmandu...

En traversant l'artère principale de la ville, rien ne pouvait laisser deviner la magnificence qui allait suivre ....un petit péage pour rentrer dans "le square", la vieille ville, et nous voilà transporté d'un coup dans une autre époque et une nouvelle cité pleine de charme aux détails savoureux et aux couleurs chatoyantes et séduisantes, la quintessence des plus belles villes du Népal, un délice d'endroit...ici le soleil a passé un pacte avec la ville, il est un acteur majeur de sa subtilité et son âme, on s'y sent bien, on pourrait marcher des heures et s'émerveiller autant de fois qu'il y a de rues...

Pour expliquer cette atmosphère, il faut savoir que Bhaktapur est une ville typiquement Newar, une ethnie qui vit à son propre rythme, a son propre calendrier et qui possède une longue tradition artistique. Potiers, sculpteurs, architectes, peintres, orfèvres, la ville est la quintessence de leur histoire et l'inconscient artistique résonne à chaque coin de rue et dans chaque habitant. Cette ville est unique et sa richesse puissante et silencieuse.

Alors je me suis laissé aller et j'ai voulu rendre hommage à cette ville en offrant tout son charme en images (ci-dessous): CLIQUEZ 👀

Cliquez (Facebook) 👀

Il a suffi d'une porte entrebâillée dans une petite cours pour que ma curiosité ou mon instinct, allez savoir, nous guide dans un garage, un capharnaüm organisé où un Monsieur plein de bonté nous a fait visiter avec fierté son antre et son atelier d'imprimerie...une immense demeure sur plusieurs étages, un véritable palais des surprises, quelques bacs de pulpe de Lokta pour nous expliquer la transformation en papier, des statues sculptées fièrement pour redorer le blason de ce palais en partie détruit en 2015 et tout en haut un incroyable temple Vishnu, propriété familiale depuis des siècles....Et pour le remercier de sa disponibilité, une visite dans sa papeterie (The Peacock Shop), une véritable caverne d'Ali Baba, un puit de culture avec des masques népalais, quantité de bouquins et tout ce que vous pouvez trouver ou imaginer, fait avec son propre papier...Bhaktapur la subtile, cette ville est une véritable merveille ❤️ !!!

The Peacock Shop (cliquez 📕)

 

Des escaliers qui n'en finissent pas, la frimousse de sa petite femme au détour d'une porte et toujours ce chemin vers le septième ciel, celui de l'art et de la passion; le feu sacré de Varanasi dans son coeur, le bonhomme nous fait découvrir sa maison incroyable, son imprimerie  d'un autre temps, et ses oeuvres sculptées dignes d'un musée....Des escaliers qui n'en finissent pas, la frimousse de sa petite femme au détour d'une porte et toujours ce chemin vers le septième ciel, celui de l'art et de la passion; le feu sacré de Varanasi dans son coeur, le bonhomme nous fait découvrir sa maison incroyable, son imprimerie  d'un autre temps, et ses oeuvres sculptées dignes d'un musée....
Des escaliers qui n'en finissent pas, la frimousse de sa petite femme au détour d'une porte et toujours ce chemin vers le septième ciel, celui de l'art et de la passion; le feu sacré de Varanasi dans son coeur, le bonhomme nous fait découvrir sa maison incroyable, son imprimerie  d'un autre temps, et ses oeuvres sculptées dignes d'un musée....Des escaliers qui n'en finissent pas, la frimousse de sa petite femme au détour d'une porte et toujours ce chemin vers le septième ciel, celui de l'art et de la passion; le feu sacré de Varanasi dans son coeur, le bonhomme nous fait découvrir sa maison incroyable, son imprimerie  d'un autre temps, et ses oeuvres sculptées dignes d'un musée....

Des escaliers qui n'en finissent pas, la frimousse de sa petite femme au détour d'une porte et toujours ce chemin vers le septième ciel, celui de l'art et de la passion; le feu sacré de Varanasi dans son coeur, le bonhomme nous fait découvrir sa maison incroyable, son imprimerie d'un autre temps, et ses oeuvres sculptées dignes d'un musée....

Une porte ouverte sur le temps, on a l'impression de déambuler dans une autre époque, d'assister à des scènes de vie d'un autre temps, dans une douce langueur, bercé par les effluves des odeurs et les couleurs chatoyantes des échoppes. Chaque rue est une aventure et s'y engager, c'est laisser la vie défiler et nous envahir, oublier le temps et s'effacer un peu plus, devenir un simple spectateur et fantasme ultime, se retirer du circuit....

Se promener dans Bakhtapur c'est découvrir une ville incroyable de monuments et de bâtisses aussi belles les unes que les autres...c'est Durbar Square Khatmandu et Patan réunis, la quintessence de la beauté népalaise, un passé poli par le "beau" et une philosophie de l'existence pleine de véracité.Se promener dans Bakhtapur c'est découvrir une ville incroyable de monuments et de bâtisses aussi belles les unes que les autres...c'est Durbar Square Khatmandu et Patan réunis, la quintessence de la beauté népalaise, un passé poli par le "beau" et une philosophie de l'existence pleine de véracité.Se promener dans Bakhtapur c'est découvrir une ville incroyable de monuments et de bâtisses aussi belles les unes que les autres...c'est Durbar Square Khatmandu et Patan réunis, la quintessence de la beauté népalaise, un passé poli par le "beau" et une philosophie de l'existence pleine de véracité.
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Se promener dans Bakhtapur c'est découvrir une ville incroyable de monuments et de bâtisses aussi belles les unes que les autres...c'est Durbar Square Khatmandu et Patan réunis, la quintessence de la beauté népalaise, un passé poli par le "beau" et une philosophie de l'existence pleine de véracité.

Les choses peuvent toujours paraître archaïques, mais tout est agencé sans heurt et avec convenance; ici, une facture d'électricité qu'un bonhomme, armé d'un compteur pas plus grand qu'un téléphone, relève et pose soigneusement sur chaque porte, pour que chacun puisse payer sa facture...un peu plus loin, on sèche son linge sur des vélos, puis dans une rue sans nom, la Fnac locale, bien plus charmante et vivante que ces mastodontes gorgés d'orgueil et de fric, dénués de toute âme... Un petit clin d'oeil à la Toni Hagen House, un musée érigé par un géologue suisse tombé amoureux du Népal et Bhaktapur (Heritage Gallery).
Les choses peuvent toujours paraître archaïques, mais tout est agencé sans heurt et avec convenance; ici, une facture d'électricité qu'un bonhomme, armé d'un compteur pas plus grand qu'un téléphone, relève et pose soigneusement sur chaque porte, pour que chacun puisse payer sa facture...un peu plus loin, on sèche son linge sur des vélos, puis dans une rue sans nom, la Fnac locale, bien plus charmante et vivante que ces mastodontes gorgés d'orgueil et de fric, dénués de toute âme... Un petit clin d'oeil à la Toni Hagen House, un musée érigé par un géologue suisse tombé amoureux du Népal et Bhaktapur (Heritage Gallery).Les choses peuvent toujours paraître archaïques, mais tout est agencé sans heurt et avec convenance; ici, une facture d'électricité qu'un bonhomme, armé d'un compteur pas plus grand qu'un téléphone, relève et pose soigneusement sur chaque porte, pour que chacun puisse payer sa facture...un peu plus loin, on sèche son linge sur des vélos, puis dans une rue sans nom, la Fnac locale, bien plus charmante et vivante que ces mastodontes gorgés d'orgueil et de fric, dénués de toute âme... Un petit clin d'oeil à la Toni Hagen House, un musée érigé par un géologue suisse tombé amoureux du Népal et Bhaktapur (Heritage Gallery).Les choses peuvent toujours paraître archaïques, mais tout est agencé sans heurt et avec convenance; ici, une facture d'électricité qu'un bonhomme, armé d'un compteur pas plus grand qu'un téléphone, relève et pose soigneusement sur chaque porte, pour que chacun puisse payer sa facture...un peu plus loin, on sèche son linge sur des vélos, puis dans une rue sans nom, la Fnac locale, bien plus charmante et vivante que ces mastodontes gorgés d'orgueil et de fric, dénués de toute âme... Un petit clin d'oeil à la Toni Hagen House, un musée érigé par un géologue suisse tombé amoureux du Népal et Bhaktapur (Heritage Gallery).

Les choses peuvent toujours paraître archaïques, mais tout est agencé sans heurt et avec convenance; ici, une facture d'électricité qu'un bonhomme, armé d'un compteur pas plus grand qu'un téléphone, relève et pose soigneusement sur chaque porte, pour que chacun puisse payer sa facture...un peu plus loin, on sèche son linge sur des vélos, puis dans une rue sans nom, la Fnac locale, bien plus charmante et vivante que ces mastodontes gorgés d'orgueil et de fric, dénués de toute âme... Un petit clin d'oeil à la Toni Hagen House, un musée érigé par un géologue suisse tombé amoureux du Népal et Bhaktapur (Heritage Gallery).

Un peuple pacifiste, pas si consensuel que ça finalement, conscient de sa situation géopolitique, enclavé entre deux géants, la pachyderme indien, et le mégalo chinois, deux monstres prêts à dégainer l'impérialisme a tout moment et étouffer cette limbe de terre pourtant si riche, si vivante et si indépendante. Alors on bande ses muscles, on déploie sa parure, on montre sa fierté et et on exhibe son armée. Ça m'a fait penser à un épisode vécu au Rajhastan dans une pseudo guéguerre contre le Pakistan et quelques bombardements frontaliers sous les Vivas du peuple indien acclamant son armée, fier étendard devant l'éternel et l'absurde.  

Ici ça ne rigole pas, enfin un peu quand même, mais derrière cette réputation d'un des plus efficaces corps d'armée au monde, se cachent des sourires pleins de tendresse...un soldat gardant le "Palais Royal" posant avec fierté et amusement et un entraînement, peut être un recrutement, sur un terrain vague, de jeunes recrues avec un ballet de "Khukuris" en bois, cette arme redoutable qui éventre comme un "bonjour"...des adolescents entrainés à tuer ou à faire semblant, ça interpelle toujours et je me souviens des regards souvent amusés de certains qui mimaient un coup mortel avec le sourire d'un enfant récitant timidement une leçon devant ses camarades de classe...les tests sont très sévères pour être acceptés dans cette armée redoutable...un moment étrange ...Ici ça ne rigole pas, enfin un peu quand même, mais derrière cette réputation d'un des plus efficaces corps d'armée au monde, se cachent des sourires pleins de tendresse...un soldat gardant le "Palais Royal" posant avec fierté et amusement et un entraînement, peut être un recrutement, sur un terrain vague, de jeunes recrues avec un ballet de "Khukuris" en bois, cette arme redoutable qui éventre comme un "bonjour"...des adolescents entrainés à tuer ou à faire semblant, ça interpelle toujours et je me souviens des regards souvent amusés de certains qui mimaient un coup mortel avec le sourire d'un enfant récitant timidement une leçon devant ses camarades de classe...les tests sont très sévères pour être acceptés dans cette armée redoutable...un moment étrange ...Ici ça ne rigole pas, enfin un peu quand même, mais derrière cette réputation d'un des plus efficaces corps d'armée au monde, se cachent des sourires pleins de tendresse...un soldat gardant le "Palais Royal" posant avec fierté et amusement et un entraînement, peut être un recrutement, sur un terrain vague, de jeunes recrues avec un ballet de "Khukuris" en bois, cette arme redoutable qui éventre comme un "bonjour"...des adolescents entrainés à tuer ou à faire semblant, ça interpelle toujours et je me souviens des regards souvent amusés de certains qui mimaient un coup mortel avec le sourire d'un enfant récitant timidement une leçon devant ses camarades de classe...les tests sont très sévères pour être acceptés dans cette armée redoutable...un moment étrange ...

Ici ça ne rigole pas, enfin un peu quand même, mais derrière cette réputation d'un des plus efficaces corps d'armée au monde, se cachent des sourires pleins de tendresse...un soldat gardant le "Palais Royal" posant avec fierté et amusement et un entraînement, peut être un recrutement, sur un terrain vague, de jeunes recrues avec un ballet de "Khukuris" en bois, cette arme redoutable qui éventre comme un "bonjour"...des adolescents entrainés à tuer ou à faire semblant, ça interpelle toujours et je me souviens des regards souvent amusés de certains qui mimaient un coup mortel avec le sourire d'un enfant récitant timidement une leçon devant ses camarades de classe...les tests sont très sévères pour être acceptés dans cette armée redoutable...un moment étrange ...

Des détails auxquels on ne prête guère attention, mais qui rendent le quotidien chargé de poésie et donnent à une journée ses lettres de noblesse...dans notre société où personne ne fait plus attention à quiconque où on ne s'intéresse à rien autour de soi, chacun arc-bouté sur soi même, il fait bon observer cet environnement où chaque personne est un détail qui fourmille lui même de détails, chaque instant résonne de l'énergie de la Vie et les traditions semblent ancrées dans le marbre au mépris d'un modernisme flingueur et définitivement rédhibitoire, un mondialisme vulgaire, agressif et froid comme la mort...

Une mosaïque fascinante de figures locales avec un combat de coqs en pleine rue, inégal d'ailleurs puisque l'un était attaché, un joueur de Saranghi cherchant sa route en suivant certainement des notes de musique, une génération de femmes lavant le linge autour d'une petite fontaine comme les faisaient nos anciens dans les lavoirs, le sacrifice d'une pauvre chèvre en faveur d'un dieu parmi les dieux, une fileuse pleine de douceur, au soleil, dans un cadre où la simplicité amène la qualité, un vendeur de choux fleurs qui n'est pas au centime près et le quartier des "potiers", le paradis de la céramique, l'artisanat au sommet de son art. Une mosaïque fascinante de figures locales avec un combat de coqs en pleine rue, inégal d'ailleurs puisque l'un était attaché, un joueur de Saranghi cherchant sa route en suivant certainement des notes de musique, une génération de femmes lavant le linge autour d'une petite fontaine comme les faisaient nos anciens dans les lavoirs, le sacrifice d'une pauvre chèvre en faveur d'un dieu parmi les dieux, une fileuse pleine de douceur, au soleil, dans un cadre où la simplicité amène la qualité, un vendeur de choux fleurs qui n'est pas au centime près et le quartier des "potiers", le paradis de la céramique, l'artisanat au sommet de son art. Une mosaïque fascinante de figures locales avec un combat de coqs en pleine rue, inégal d'ailleurs puisque l'un était attaché, un joueur de Saranghi cherchant sa route en suivant certainement des notes de musique, une génération de femmes lavant le linge autour d'une petite fontaine comme les faisaient nos anciens dans les lavoirs, le sacrifice d'une pauvre chèvre en faveur d'un dieu parmi les dieux, une fileuse pleine de douceur, au soleil, dans un cadre où la simplicité amène la qualité, un vendeur de choux fleurs qui n'est pas au centime près et le quartier des "potiers", le paradis de la céramique, l'artisanat au sommet de son art.
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Je passerais mes journées à m'asseoir, regarder, attendre, admirer, m'enrichir du mouvement et de la spontanéité, capturer les émotions de la Vie...Moi qui souffre de mon quotidien "vulgaire", répétitif, codifié, sans imagination, chargé de colère et de confusion, de mon rapport à la lumière, de mon trop plein d'exposition, de cette énergie perdue à ces âmes flottantes, je me retrouve enfin dans un rôle à ma mesure, où mes yeux prennent le pas sur la parole, où la rêverie et la flânerie l'emportent sur la prévoyance et "l'organisation". 

Je ne pouvais finir le chef d'oeuvre "Bhaktapur", sans quelques visages, scènes de vie et regards qui donnent à cette ville toutes ses lettres de noblesse. J'aime l'harmonie des couleurs des femmes dans leur maison ou au coin des rues, ça ressemble à la coquetterie mais ça a le goût de la simplicité. Quelques anciens vivent et laissent mourir, un enfant rêve de connaître le secret des oiseaux, une de mes plus jolies photos et une enfant "Newar" maquillée, une petite Kumari sans pouvoir. Je ne pouvais finir le chef d'oeuvre "Bhaktapur", sans quelques visages, scènes de vie et regards qui donnent à cette ville toutes ses lettres de noblesse. J'aime l'harmonie des couleurs des femmes dans leur maison ou au coin des rues, ça ressemble à la coquetterie mais ça a le goût de la simplicité. Quelques anciens vivent et laissent mourir, un enfant rêve de connaître le secret des oiseaux, une de mes plus jolies photos et une enfant "Newar" maquillée, une petite Kumari sans pouvoir. Je ne pouvais finir le chef d'oeuvre "Bhaktapur", sans quelques visages, scènes de vie et regards qui donnent à cette ville toutes ses lettres de noblesse. J'aime l'harmonie des couleurs des femmes dans leur maison ou au coin des rues, ça ressemble à la coquetterie mais ça a le goût de la simplicité. Quelques anciens vivent et laissent mourir, un enfant rêve de connaître le secret des oiseaux, une de mes plus jolies photos et une enfant "Newar" maquillée, une petite Kumari sans pouvoir.
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Et cet orgueil, par lequel nous nous voulons « hors du commun », est précisément la chose la plus commune à tous les hommes. On ne se distingue vraiment qu'en s'effaçant.

Gustave THIBON ("Aux ailes de la lettre")

Pokhara c'est d'abord la promesse d'un panorama unique, avec au Nord, la chaîne des Annapurnas et dominant la ville, l'orgueilleux Maccha Puchare ("la Queue de Poisson"), un sommet maintenant interdit et resté inviolé (n'en déplaise à Jimmy Roberts !!!).

Mais dès son arrivée, on a l'impression que le Népal tend la main à l'occident....au tout début on se sent revenu dans le monde de "la Publicité", de l'étourdissement et du divertissement, trop de mondes, trop d'acteurs et d'agitation, trop de choses inutiles et pleines de bruit, Pokhara semble l'antichambre du monde dit "moderne", un terrain expérimental de mauvais goût...Et puis petit à petit, on apprend à connaître Pokhara, le sens de cette ville, ses subtilités, on se reconnecte à la nonchalance et la douceur. Comme toujours, j'ai essayé de prendre le meilleur.....

Pokhara, c'est un magnifique lac, Phewal Tal, aux couleurs pas si innocentes que ça puisqu'on dit que les montagnes de l'Annapurna s'y reflètent et se refont une beauté par temps clair, une porte directement ouverte sur les treks de l'Annapurna (ci-dessous), et pour les amoureux de sport de plein air, tout un tas d'activités  allant du VTT, à l'ULM ou au Paragliding, pour s'étourdir encore et encore.  

Pokhara, c'est une porte pour les marcheurs inlassables, les forçats du godillot, les Forest Gump du dénivelé et les avaleurs de kilomètres...à partir d'ici tout est possible, les Dieux sont prévenus, on va venir taper à leur porte...mais c'est aussi un lac paisible coloré de barques sympathiques, le lac Phewa Tal, où un "Charon" bien intentionné nous emmène de l'autre côté pour une jolie balade vers la pagode de la Paix, sous le regard approbateur des Dieux, si les nuages nous laissent tranquilles bien sûr.
Pokhara, c'est une porte pour les marcheurs inlassables, les forçats du godillot, les Forest Gump du dénivelé et les avaleurs de kilomètres...à partir d'ici tout est possible, les Dieux sont prévenus, on va venir taper à leur porte...mais c'est aussi un lac paisible coloré de barques sympathiques, le lac Phewa Tal, où un "Charon" bien intentionné nous emmène de l'autre côté pour une jolie balade vers la pagode de la Paix, sous le regard approbateur des Dieux, si les nuages nous laissent tranquilles bien sûr.Pokhara, c'est une porte pour les marcheurs inlassables, les forçats du godillot, les Forest Gump du dénivelé et les avaleurs de kilomètres...à partir d'ici tout est possible, les Dieux sont prévenus, on va venir taper à leur porte...mais c'est aussi un lac paisible coloré de barques sympathiques, le lac Phewa Tal, où un "Charon" bien intentionné nous emmène de l'autre côté pour une jolie balade vers la pagode de la Paix, sous le regard approbateur des Dieux, si les nuages nous laissent tranquilles bien sûr.Pokhara, c'est une porte pour les marcheurs inlassables, les forçats du godillot, les Forest Gump du dénivelé et les avaleurs de kilomètres...à partir d'ici tout est possible, les Dieux sont prévenus, on va venir taper à leur porte...mais c'est aussi un lac paisible coloré de barques sympathiques, le lac Phewa Tal, où un "Charon" bien intentionné nous emmène de l'autre côté pour une jolie balade vers la pagode de la Paix, sous le regard approbateur des Dieux, si les nuages nous laissent tranquilles bien sûr.
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Pokhara, c'est une porte pour les marcheurs inlassables, les forçats du godillot, les Forest Gump du dénivelé et les avaleurs de kilomètres...à partir d'ici tout est possible, les Dieux sont prévenus, on va venir taper à leur porte...mais c'est aussi un lac paisible coloré de barques sympathiques, le lac Phewa Tal, où un "Charon" bien intentionné nous emmène de l'autre côté pour une jolie balade vers la pagode de la Paix, sous le regard approbateur des Dieux, si les nuages nous laissent tranquilles bien sûr.

Et puis les vielles maisons dans le quartier nord de Pokhara que Sunil a bien voulu nous montrer, bien loin du chaos touristique qui a happé la ville et toujours ces intervalles délicieux avec ces joueurs d'échec cherchant a prendre le fou, un fondeur d'or avec sa fille dans un petit jardin discret et le gardien d'un petit temple protégeant son oeuvre avec le plus grand sérieux.Et puis les vielles maisons dans le quartier nord de Pokhara que Sunil a bien voulu nous montrer, bien loin du chaos touristique qui a happé la ville et toujours ces intervalles délicieux avec ces joueurs d'échec cherchant a prendre le fou, un fondeur d'or avec sa fille dans un petit jardin discret et le gardien d'un petit temple protégeant son oeuvre avec le plus grand sérieux.Et puis les vielles maisons dans le quartier nord de Pokhara que Sunil a bien voulu nous montrer, bien loin du chaos touristique qui a happé la ville et toujours ces intervalles délicieux avec ces joueurs d'échec cherchant a prendre le fou, un fondeur d'or avec sa fille dans un petit jardin discret et le gardien d'un petit temple protégeant son oeuvre avec le plus grand sérieux.
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Et puis les vielles maisons dans le quartier nord de Pokhara que Sunil a bien voulu nous montrer, bien loin du chaos touristique qui a happé la ville et toujours ces intervalles délicieux avec ces joueurs d'échec cherchant a prendre le fou, un fondeur d'or avec sa fille dans un petit jardin discret et le gardien d'un petit temple protégeant son oeuvre avec le plus grand sérieux.

Il ne faut pas apprendre à écrire mais à voir. Écrire est une conséquence.

Antoine de SAINT EXUPERY

L'occasion de placer cette célèbre phrase : "Si on voyage au Népal la première fois pour ses montagnes, c'est pour sa population qu'on y revient". 👀

Venir au Népal sans faire un trek c'est un peu aller à Las Vegas sans jouer au Casino.....alors on a marché, on a même choisi un camp de base sur la route de l'Annapurna pour jouer les intrépides aventuriers....Sir Edmund Hillary bless us....et ce qui devait être une caricature du trek s'est avéré être un des meilleurs moments du séjour.....

Pour commencer, une longue et dure marche vers l'Australian Base Camp au départ du village de Kande, la montée qu'ont emprunté les vrais aventuriers de l'Annapurna, rien que ça, et nous voilà dans les petites montagnes à croiser les villageois locaux, pittoresques au possible, vivant tranquillement au rythme de la nature et des éléments...de ci des femmes ou des hommes portant un impressionnant fardeau de bois de 40 kilos ou la forêt sur leurs épaules mais toujours avec le sourire ravageur qu'ont les acteurs hollywoodiens et les gens heureux, de là un jeune berger portant poétiquement un petit chevreau dans ses bras pendant que ses chèvres pâturent à proximité....ici le temps appartient aux gens de la nature, les impatients sont inutiles et la flânerie donne au quotidien ses lettres de noblesse...

Puis la traversée de villages qui se visitent comme on écoute une partition de musique classique, avec légèreté et insouciance, gravité et détachement, pudeur et respect, le temps a disparu, seul le bien être s'étire lentement....chaque maison est une invitation et les couleurs rivalisent de spiritualité....l'harmonie est partout et on se prend à rêver d'un monde parfait...

Un chemin qui a vu défiler toute l'histoire de l'alpinisme et une ribambelle d'aventuriers, ceux qui rêvent de chevaucher une Royal Enfield et se retrouver nez à nez avec le yéti, ceux qui aiment s'étourdir de l'altitude et oublier l'absurdité du quotidien, ceux qui ambitionnent d'aller déjeuner à la table des dieux, ceux qui se donnent tout simplement le droit de rêver et vivre leurs rêves.

Des treks partout, dans toutes les directions et jusqu'au célèbre Annapurna Base Camp (ABC). Au départ du village de Kande, le rêve est en route, et comme montré plus haut, vous pouvez reconnecter votre esprit dans toutes les directions, le nombre de jours que vous voulez...les dieux se méritent mais ça vaut le coup !!!

Des treks partout, dans toutes les directions et jusqu'au célèbre Annapurna Base Camp (ABC). Au départ du village de Kande, le rêve est en route, et comme montré plus haut, vous pouvez reconnecter votre esprit dans toutes les directions, le nombre de jours que vous voulez...les dieux se méritent mais ça vaut le coup !!!

Tout au long de chemin, la vie se déroule sans heurt et l'on croise la douceur en permanence, le temps lui même n'est pas angoissé de courir, il flâne et donne aux habitants des montagnes le pouvoir d'oublier la souffrance physique, le poids des travaux et les kilomètres avalés...c'est peut être ça le secret du bonheur, vivre à son rythme, effleurer le temps, le prendre dans une main pour le lâcher de l'autre...un regard sur le DOKO, le panier en osier cher au Népal, que l'on retrouve partout, solide, fier et indestructible, comme le merveilleux peuple népalais.
Tout au long de chemin, la vie se déroule sans heurt et l'on croise la douceur en permanence, le temps lui même n'est pas angoissé de courir, il flâne et donne aux habitants des montagnes le pouvoir d'oublier la souffrance physique, le poids des travaux et les kilomètres avalés...c'est peut être ça le secret du bonheur, vivre à son rythme, effleurer le temps, le prendre dans une main pour le lâcher de l'autre...un regard sur le DOKO, le panier en osier cher au Népal, que l'on retrouve partout, solide, fier et indestructible, comme le merveilleux peuple népalais.Tout au long de chemin, la vie se déroule sans heurt et l'on croise la douceur en permanence, le temps lui même n'est pas angoissé de courir, il flâne et donne aux habitants des montagnes le pouvoir d'oublier la souffrance physique, le poids des travaux et les kilomètres avalés...c'est peut être ça le secret du bonheur, vivre à son rythme, effleurer le temps, le prendre dans une main pour le lâcher de l'autre...un regard sur le DOKO, le panier en osier cher au Népal, que l'on retrouve partout, solide, fier et indestructible, comme le merveilleux peuple népalais.Tout au long de chemin, la vie se déroule sans heurt et l'on croise la douceur en permanence, le temps lui même n'est pas angoissé de courir, il flâne et donne aux habitants des montagnes le pouvoir d'oublier la souffrance physique, le poids des travaux et les kilomètres avalés...c'est peut être ça le secret du bonheur, vivre à son rythme, effleurer le temps, le prendre dans une main pour le lâcher de l'autre...un regard sur le DOKO, le panier en osier cher au Népal, que l'on retrouve partout, solide, fier et indestructible, comme le merveilleux peuple népalais.
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"Les Meules de foin" de Claude MONET, un labyrinthe "ésotérique" mystérieux dans un village, la vallée surveillée par les montagnes, et étrangement pas de neige malgré une altitude raisonnable et un froid saisissant, juste quelques montagnes saupoudrées de blanc au dessus des vallées...ici au Népal la neige est l'apanage des Dieux, comme si le blanc manteau d'hermine était fait pour les divinités.
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Partout les scènes de vie incroyables se succèdent...plus on marche plus on rencontre et on s'extasie...des banquières improvisées dans une petite école de campagne où des roturières décident de leur revanche en fixant des taux d'intérêt, un paysan saoul m'invitant bruyamment à le prendre en photo, deux chevreaux nés sous le signe du yang et de la spiritualité, et une ferme du "Bon Accueil" où un Monsieur "Cetelem" me ferait presque croire aux bienfaits du crédit.
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La bonté, c'est la coquetterie des cheveux blancs.

Octave FEUILLET

Samoens-handiglisse (cliquez sur l'image 👀)

Un moment touchant où j'ai croisé, ce qui est très rare dans mes voyages, l'énergie de Vie que je recherche souvent et que je ne trouve jamais...celle où on se contente de vivre et laisser mourir sans se préoccuper d'autrui ni de la roue qui tourne.

Une rencontre fortuite et improbable à l'Australian Camp Base, une discussion avec une dame ayant une prothèse à une jambe, dont l'énergie résonnait jusqu'au sommet des monts sacrés et dans l'ombre, ce vieux monsieur  barbu et discret, Michel VEISY (cliquez, le bonhomme vaut le coup 👀❤️), un montagnard français, un savoyard pure souche, un guide de haute montagne au coeur énorme, qui s'occupe de raviver le rêve des handicapés en leur proposant de merveilleux treks dans l'Himalaya au Népal via son Association...

Cliquez sur l'image 👀

Je suis toujours ému par les personnes à mobilité réduite..par leur faculté à récupérer le bonheur, à se l'approprier et voir la Vie comme on devrait tous la voir, comme une chance qu'il ne faut pas laisser passer. 

“Les seules conférences au sommet qui riment à quelque chose sont celles des alpinistes !”

Bernard CUSSETA

L'émotion du séjour, mes premières larmes... l'émerveillement devant tant de beauté et de pureté, de fierté et de force...La chaîne de l'Himalaya c'est la genèse et le royaume des Dieux...Ici le silence succède à l'admiration...majestueux, grandiose, stupéfiant !!!!

Arrivé au camp de base de l'Annapurna (ABC), fermé en hiver (photos ci-dessous), j'ai eu l'impression d'être dans un sanctuaire, un lieu sacré où les âmes des plus grands alpinistes se retrouvaient en hommage à la montagne...ici les monstres les plus sacrés de l'alpinisme se retrouvaient pour le meilleur et souvent pour le pire avant d'entamer la plus incroyable des ascensions pour gravir l'un des sommets les plus dangereux au Monde....vivant le soir, mort le lendemain, combien de drames se sont joués dans cet endroit....combien de braves ont poussé l'existence jusqu'à l'extrême...combien de pleurs et de larmes pour combien de rires de bonheur....même en hélicoptère on ressent la solennité de l'endroit, on a envie de respecter l'Histoire de l'Alpinisme....car ici un grimpeur sur deux paie l'ascension de sa vie.  

L'Everest au delà de l'Annapurna, ce sont quantité de noms, de personnalités et de héros aux histoires incroyables, qui ont transcendé le genre humain en s'appropriant l'infaisable, transformant l'impossible en un voisin accommodant et sympathique, un détail, un souffle dans une phrase...ce ne sont pas seulement des alpinistes que j'ai tenu à mettre à l'honneur mais aussi les extraordinaires Sherpas, dont le métabolisme hors du commun leur permet de faire des choses incroyables à la plus haute altitude puis un pilote d'avion hors norme, un as des as, véritable Saint Bernard, légende de l'Himalaya et homonyme d'un des héros d'action du cinéma moderne. 

  • Sir John Hunt le chef d'expédition, Sir Edmund Hillary et son Sherpa Tensing Norgay, à jamais les premières stars de l'impossible (❤️)
  • Les Sherpas, ces surhommes qui n'ont (presque) pas besoin d'oxygène...
  • Nirmal Purja, cet ancien Gurkha a gravi en 2019 quatorze 8000m en 6 mois et 6 jours....incroyable !!!
  • Maurice Herzog et Louis Lachenal, ou le chant du coq sur l'Annapurna...
  • Reinhold Messner, une véritable légende et le premier à avoir gravi l'Everest sans oxygène. 
  • Jerzy Kukuczka, considéré comme l'un des plus grands himalayistes de tous les temps...
  • Pierre Beghin, un alpiniste français qui a laissé son âme dans l'Annapurna.
  • Herman Buhl, un solitaire autrichien du 8000, une véritable légende dont le corps est farouchement gardé par les montagnes du Pakistan...
  • Doug Scott, piolet d'or en 2011.
  • Yannick Seigneur, premier français à avoir gravi trois 8000...
  • Jean Troillet, plusieurs 8000 et la descente de la face nord de l'Everest en snowboard...👀
  • Marc Batard qui s'apprête a reprendre du galon dans l'Himalay, à près de 70 ans,  sans oxygène bien sûr... 
  • Emile Wick (cliquez 🚁) Au manche d'un Pegasus, chacun de ses vols était un exploit; plus de 9 000 heures de vols et plus de 15 000 atterrissages dans l'Himalaya en ont fait un des meilleurs aviateurs au monde. Autre fait d'armes, il a réalisé l'atterrissage le plus haut du monde, d'ailleurs aujourd'hui encore inégalé, à 5 750 m d'altitude. Enfin petite anecdote qui situe le personnage, il a déjà aperçu le YÉTI, enfin il a surtout vu ses traces dans la neige....Incroyable bonhomme je vous dis !!!!

et tant d'autres.........

Un petit tour d'hélicoptère (merci pour tout Sunil !!!) pour aller tutoyer la pureté, démarche anachronique j'en conviens, mais sans regret puisque tout en haut le paysage est immaculé et le blanc soyeux de la neige récente impose le respect et le silence. Ici pas de Dieux, juste leur souffle et leur présence, quelques hommages timides avec des drapeaux et tout autour, la nature nous rappelle que c'est elle qui tient les rennes, qu'elle était là en premier, à la genèse de la Vie...elle ne parle pas elle s'impose d'elle même, tout le contraire de notre confrérie de fourmis conquérantes...
Un petit tour d'hélicoptère (merci pour tout Sunil !!!) pour aller tutoyer la pureté, démarche anachronique j'en conviens, mais sans regret puisque tout en haut le paysage est immaculé et le blanc soyeux de la neige récente impose le respect et le silence. Ici pas de Dieux, juste leur souffle et leur présence, quelques hommages timides avec des drapeaux et tout autour, la nature nous rappelle que c'est elle qui tient les rennes, qu'elle était là en premier, à la genèse de la Vie...elle ne parle pas elle s'impose d'elle même, tout le contraire de notre confrérie de fourmis conquérantes...Un petit tour d'hélicoptère (merci pour tout Sunil !!!) pour aller tutoyer la pureté, démarche anachronique j'en conviens, mais sans regret puisque tout en haut le paysage est immaculé et le blanc soyeux de la neige récente impose le respect et le silence. Ici pas de Dieux, juste leur souffle et leur présence, quelques hommages timides avec des drapeaux et tout autour, la nature nous rappelle que c'est elle qui tient les rennes, qu'elle était là en premier, à la genèse de la Vie...elle ne parle pas elle s'impose d'elle même, tout le contraire de notre confrérie de fourmis conquérantes...
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Du blanc partout, des sommets à perte de vue, des vallées incroyables, des gorges secrètes, l'Annapurna lui même et ses 4 sommets (8 091 m le plus haut) , le Dhaulagiri (8 167 m), l'Hiunchuli (6 441 m), le Machapuchare ou "Fish Tail" (6 993 m), le sacré, l'invaincu, le fier, le sauvage, le Mardi Himal (5 587 m), un parterre de stars, un véritable défilé de princes...
Du blanc partout, des sommets à perte de vue, des vallées incroyables, des gorges secrètes, l'Annapurna lui même et ses 4 sommets (8 091 m le plus haut) , le Dhaulagiri (8 167 m), l'Hiunchuli (6 441 m), le Machapuchare ou "Fish Tail" (6 993 m), le sacré, l'invaincu, le fier, le sauvage, le Mardi Himal (5 587 m), un parterre de stars, un véritable défilé de princes...Du blanc partout, des sommets à perte de vue, des vallées incroyables, des gorges secrètes, l'Annapurna lui même et ses 4 sommets (8 091 m le plus haut) , le Dhaulagiri (8 167 m), l'Hiunchuli (6 441 m), le Machapuchare ou "Fish Tail" (6 993 m), le sacré, l'invaincu, le fier, le sauvage, le Mardi Himal (5 587 m), un parterre de stars, un véritable défilé de princes...Du blanc partout, des sommets à perte de vue, des vallées incroyables, des gorges secrètes, l'Annapurna lui même et ses 4 sommets (8 091 m le plus haut) , le Dhaulagiri (8 167 m), l'Hiunchuli (6 441 m), le Machapuchare ou "Fish Tail" (6 993 m), le sacré, l'invaincu, le fier, le sauvage, le Mardi Himal (5 587 m), un parterre de stars, un véritable défilé de princes...
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La sagesse commence dans l’émerveillement.

SOCRATE (Philosophe)

Un intervalle rempli de promesses sur les hauteurs de Pokhara, une vue panoramique sur l'Himalaya et quelques rencontres le long d'un escalier dont une demoiselle pleine de douceur et de pudeur, deux chèvres défendant leur territoire, des accessoires plein de charme, tout ça avec le décors magique des montagnes divines en arrière plan.

Trop sympa, au départ de Pokhara, Sunil a voulu nous faire découvrir le village de Sarangkot à 1600 mètres d 'altitude, connu pour sa vue panoramique sur l'Himalaya Dhaulagiri, l'Annapurna et Manaslu ainsi que sur Pokhara et son lac Phewa Tal.

Les maisons traditionnelles rurales, une ingénierie simple mais tellement efficace, et puis un chemin emprunté  sous l'oeil serein des montagnes où deux chèvres se sont affrontées pour mon appareil avant qu'une jeune fille me conduise à un joli point de vue.
Les maisons traditionnelles rurales, une ingénierie simple mais tellement efficace, et puis un chemin emprunté  sous l'oeil serein des montagnes où deux chèvres se sont affrontées pour mon appareil avant qu'une jeune fille me conduise à un joli point de vue.Les maisons traditionnelles rurales, une ingénierie simple mais tellement efficace, et puis un chemin emprunté  sous l'oeil serein des montagnes où deux chèvres se sont affrontées pour mon appareil avant qu'une jeune fille me conduise à un joli point de vue.Les maisons traditionnelles rurales, une ingénierie simple mais tellement efficace, et puis un chemin emprunté  sous l'oeil serein des montagnes où deux chèvres se sont affrontées pour mon appareil avant qu'une jeune fille me conduise à un joli point de vue.
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Les maisons traditionnelles rurales, une ingénierie simple mais tellement efficace, et puis un chemin emprunté sous l'oeil serein des montagnes où deux chèvres se sont affrontées pour mon appareil avant qu'une jeune fille me conduise à un joli point de vue.

J'aime tous les soleils et toutes les patries Je suis le combattant des grandes rêveries

Victor HUGO

Une énorme surprise dans cette banlieue de Pokhara avec un monastère "public" et un fondateur bouddhiste un peu fier mais "coopérant", une crémation festive et bon enfant puis un spectacle d'un autre monde dans un silence terrible sur un lit de rivière quasi asséché...un instant de vie qui m'a rappelé les images prises par Sebastião SELGADO (cliquez 📷) dans les mines d'or de Serra Pelada au Brésil. 

On est loin des temples bouddhistes du Myanmar avec des novices espiègles et joueurs et des scènes de vie d'un autre temps...ici c est plutôt "rangé"...une crémation de bonne humeur au bord d'une rivière et puis LA surprise de cette journée. Des travailleurs d'un autre monde dans une rivière asséchée et parcellisée, hommes et femmes, surtout femmes, se partageant les ressources "géologiques" du lit pour quelques sous et un peu de survie...des scènes d'une autre époque, terribles, dures, silencieuses et courageuses...toujours sous le regard des dieux qui ne pouvaient ignorer des scènes se déroulant sous leurs yeux....les dieux seraient ils lâches aussi ?
On est loin des temples bouddhistes du Myanmar avec des novices espiègles et joueurs et des scènes de vie d'un autre temps...ici c est plutôt "rangé"...une crémation de bonne humeur au bord d'une rivière et puis LA surprise de cette journée. Des travailleurs d'un autre monde dans une rivière asséchée et parcellisée, hommes et femmes, surtout femmes, se partageant les ressources "géologiques" du lit pour quelques sous et un peu de survie...des scènes d'une autre époque, terribles, dures, silencieuses et courageuses...toujours sous le regard des dieux qui ne pouvaient ignorer des scènes se déroulant sous leurs yeux....les dieux seraient ils lâches aussi ? On est loin des temples bouddhistes du Myanmar avec des novices espiègles et joueurs et des scènes de vie d'un autre temps...ici c est plutôt "rangé"...une crémation de bonne humeur au bord d'une rivière et puis LA surprise de cette journée. Des travailleurs d'un autre monde dans une rivière asséchée et parcellisée, hommes et femmes, surtout femmes, se partageant les ressources "géologiques" du lit pour quelques sous et un peu de survie...des scènes d'une autre époque, terribles, dures, silencieuses et courageuses...toujours sous le regard des dieux qui ne pouvaient ignorer des scènes se déroulant sous leurs yeux....les dieux seraient ils lâches aussi ? On est loin des temples bouddhistes du Myanmar avec des novices espiègles et joueurs et des scènes de vie d'un autre temps...ici c est plutôt "rangé"...une crémation de bonne humeur au bord d'une rivière et puis LA surprise de cette journée. Des travailleurs d'un autre monde dans une rivière asséchée et parcellisée, hommes et femmes, surtout femmes, se partageant les ressources "géologiques" du lit pour quelques sous et un peu de survie...des scènes d'une autre époque, terribles, dures, silencieuses et courageuses...toujours sous le regard des dieux qui ne pouvaient ignorer des scènes se déroulant sous leurs yeux....les dieux seraient ils lâches aussi ?
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Des sourires qui ne reflètent pas l'évènement du moment mais qui sont la marque d'un pays délibérément tourné vers l'avant et la vie.Des sourires qui ne reflètent pas l'évènement du moment mais qui sont la marque d'un pays délibérément tourné vers l'avant et la vie.
Des sourires qui ne reflètent pas l'évènement du moment mais qui sont la marque d'un pays délibérément tourné vers l'avant et la vie.Des sourires qui ne reflètent pas l'évènement du moment mais qui sont la marque d'un pays délibérément tourné vers l'avant et la vie.Des sourires qui ne reflètent pas l'évènement du moment mais qui sont la marque d'un pays délibérément tourné vers l'avant et la vie.
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Des sourires qui ne reflètent pas l'évènement du moment mais qui sont la marque d'un pays délibérément tourné vers l'avant et la vie.

Rester c'est exister, voyager c'est vivre

Gustave NADAUD (poète)

 

Happy New Year in Bandipur....Une Saint Sylvestre 2021 passée dans les rues d'une petite ville pleine de finesse et de candeur où la fête battait son plein sans superflu ni emphase, les rues ruisselaient d'envie, de pacifisme et de bonté....on vous invitait à danser comme on vous met un Tilak sur le front en signe de bienvenue....et puis le lendemain matin, balayées les notes de musique, le calme est revenu, seule restait l'extraordinaire hospitalité du peuple népalais qui avait fêté simplement et poliment notre nouvelle année, peut être l'occasion de boire un coup ou de tester quelques pas de danse appris dans une chambre devant une glace...En effet pour les népalais, le jour de l'an a lieu au printemps, le 14 avril et selon leur calendrier tibétain, c'est pour fêter l'an 2078.....on comprend mieux le décalage entre ce peuple et nous....

Ici, le monde est partout, on nous rappelle toujours à l'humilité en déployant les directions et l'immensité qu'est le monde... 

Un délicieux condensé de ce musée Newar à ciel ouvert...un petit village situé en haut d'une crête avec une rue principale piétonnière ornée de vieilles maisons traditionnelles colorées, certaines reconverties admirablement en café ou Lodge...c'est tout petit mais c'est incroyable de charme, d'inventivité et d'énergie....on a même rencontré un indien écrivain scénariste de film, qui restait là quelques jours pour élaborer et écrire un scénario...l'endroit est étonnant car la paix veille dans ce village et tout autour les montagnes semblent le protéger, la vie et le quotidien y sont  apaisants. Je serai bien resté d'ailleurs quelques jours de plus pour découvrir la région !!!
Un délicieux condensé de ce musée Newar à ciel ouvert...un petit village situé en haut d'une crête avec une rue principale piétonnière ornée de vieilles maisons traditionnelles colorées, certaines reconverties admirablement en café ou Lodge...c'est tout petit mais c'est incroyable de charme, d'inventivité et d'énergie....on a même rencontré un indien écrivain scénariste de film, qui restait là quelques jours pour élaborer et écrire un scénario...l'endroit est étonnant car la paix veille dans ce village et tout autour les montagnes semblent le protéger, la vie et le quotidien y sont  apaisants. Je serai bien resté d'ailleurs quelques jours de plus pour découvrir la région !!!Un délicieux condensé de ce musée Newar à ciel ouvert...un petit village situé en haut d'une crête avec une rue principale piétonnière ornée de vieilles maisons traditionnelles colorées, certaines reconverties admirablement en café ou Lodge...c'est tout petit mais c'est incroyable de charme, d'inventivité et d'énergie....on a même rencontré un indien écrivain scénariste de film, qui restait là quelques jours pour élaborer et écrire un scénario...l'endroit est étonnant car la paix veille dans ce village et tout autour les montagnes semblent le protéger, la vie et le quotidien y sont  apaisants. Je serai bien resté d'ailleurs quelques jours de plus pour découvrir la région !!!Un délicieux condensé de ce musée Newar à ciel ouvert...un petit village situé en haut d'une crête avec une rue principale piétonnière ornée de vieilles maisons traditionnelles colorées, certaines reconverties admirablement en café ou Lodge...c'est tout petit mais c'est incroyable de charme, d'inventivité et d'énergie....on a même rencontré un indien écrivain scénariste de film, qui restait là quelques jours pour élaborer et écrire un scénario...l'endroit est étonnant car la paix veille dans ce village et tout autour les montagnes semblent le protéger, la vie et le quotidien y sont  apaisants. Je serai bien resté d'ailleurs quelques jours de plus pour découvrir la région !!!
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Sur la route du départ nous menant à Kathmandu, quelques scènes de vie et quelques visages solaires pour imprégner ma mémoire de l'âme des népalais. Au passage, une partie de Badminton jouée dans la rue avec des enfants sans complexe et tellement heureux de partager ce moment avec un occidental .
Sur la route du départ nous menant à Kathmandu, quelques scènes de vie et quelques visages solaires pour imprégner ma mémoire de l'âme des népalais. Au passage, une partie de Badminton jouée dans la rue avec des enfants sans complexe et tellement heureux de partager ce moment avec un occidental .Sur la route du départ nous menant à Kathmandu, quelques scènes de vie et quelques visages solaires pour imprégner ma mémoire de l'âme des népalais. Au passage, une partie de Badminton jouée dans la rue avec des enfants sans complexe et tellement heureux de partager ce moment avec un occidental .Sur la route du départ nous menant à Kathmandu, quelques scènes de vie et quelques visages solaires pour imprégner ma mémoire de l'âme des népalais. Au passage, une partie de Badminton jouée dans la rue avec des enfants sans complexe et tellement heureux de partager ce moment avec un occidental .
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Quelques visages croisés dans la rue, mix de plusieurs générations. On dirait que le travail n'a pas d'âge, qu'il est même une fête des couleurs, puis enfin l'école, toujours importante, parfois et ici source de spleen il semblerait...Quelques visages croisés dans la rue, mix de plusieurs générations. On dirait que le travail n'a pas d'âge, qu'il est même une fête des couleurs, puis enfin l'école, toujours importante, parfois et ici source de spleen il semblerait...
Quelques visages croisés dans la rue, mix de plusieurs générations. On dirait que le travail n'a pas d'âge, qu'il est même une fête des couleurs, puis enfin l'école, toujours importante, parfois et ici source de spleen il semblerait...Quelques visages croisés dans la rue, mix de plusieurs générations. On dirait que le travail n'a pas d'âge, qu'il est même une fête des couleurs, puis enfin l'école, toujours importante, parfois et ici source de spleen il semblerait...

Quelques visages croisés dans la rue, mix de plusieurs générations. On dirait que le travail n'a pas d'âge, qu'il est même une fête des couleurs, puis enfin l'école, toujours importante, parfois et ici source de spleen il semblerait...

L'énergie humaine se nourrit du changement

Sylvain TESSON (l'énergie vagabonde)

Soyez prêt pour l'aventure.....moi le matérialiste nihiliste, le cynico-proprio, qui porte pour seul bagage son vécu, et bien vous ne le croirez pas je suis tombé amoureux des motos ROYAL ENFIELD (cliquez 🏍)...Taillée pour l'Aventure, elles sont le look des grands espaces et le symbole de l'épopée....

Tintin l'icône des Aventuriers, l'inspiration d'Indiana Jones, j'ai immédiatement pensé à lui en voyant ces merveilleuses motos. Dans le "Sceptre d'Ottokar", il poursuit les vilains Syldaves au volant de cette moto dans son style caractéristique, sans casque, sans peur et au mépris du danger, sans hésitation, juste tendu vers l'avant et l'action. On s'en fout finalement que ce soit une Gillet-Herstal ou une Ural Retro que conduise Tintin, ce qui me plaît c'est l image qu'il donne d'un Homme à moto, celle d'une flèche tendue vers son objectif avec la force et la détermination qui vont avec...c'est ça Royal Enfield pour moi...

De merveilleux bolides qui font penser aux grands espaces, aux durs au mal et aux longs voyages. Le véhicule des Aventuriers, les pourfendeurs de l'impossible, les accrocs à l'incertitude, les "je m'en foutistes de l'insécurité", les amoureux de l'inconnu, les iconoclastes du conformisme, les transgresseurs du quotidien, les voyageurs héroïques, avec un clin d'oeil à Sylvain Tesson et son périple en Mongolie au volant d'un Side Car Royal Enfield et ainsi donc à Tintin, l'intrépide reporter d'Hergé.   De merveilleux bolides qui font penser aux grands espaces, aux durs au mal et aux longs voyages. Le véhicule des Aventuriers, les pourfendeurs de l'impossible, les accrocs à l'incertitude, les "je m'en foutistes de l'insécurité", les amoureux de l'inconnu, les iconoclastes du conformisme, les transgresseurs du quotidien, les voyageurs héroïques, avec un clin d'oeil à Sylvain Tesson et son périple en Mongolie au volant d'un Side Car Royal Enfield et ainsi donc à Tintin, l'intrépide reporter d'Hergé.   De merveilleux bolides qui font penser aux grands espaces, aux durs au mal et aux longs voyages. Le véhicule des Aventuriers, les pourfendeurs de l'impossible, les accrocs à l'incertitude, les "je m'en foutistes de l'insécurité", les amoureux de l'inconnu, les iconoclastes du conformisme, les transgresseurs du quotidien, les voyageurs héroïques, avec un clin d'oeil à Sylvain Tesson et son périple en Mongolie au volant d'un Side Car Royal Enfield et ainsi donc à Tintin, l'intrépide reporter d'Hergé.
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De merveilleux bolides qui font penser aux grands espaces, aux durs au mal et aux longs voyages. Le véhicule des Aventuriers, les pourfendeurs de l'impossible, les accrocs à l'incertitude, les "je m'en foutistes de l'insécurité", les amoureux de l'inconnu, les iconoclastes du conformisme, les transgresseurs du quotidien, les voyageurs héroïques, avec un clin d'oeil à Sylvain Tesson et son périple en Mongolie au volant d'un Side Car Royal Enfield et ainsi donc à Tintin, l'intrépide reporter d'Hergé.

La liberté ne se définit pas, elle se vit

Christine ANGOT

Le moment où je viens enfin de comprendre le sens des moulins à prières, puis me voilà au pied du Mardi Himal pas peu fier d'être dans l'antichambre des dieux, avant de redescendre sur terre jouer au ballon dans la rue avec les enfants, mes moments préférés de voyages où j'aime redevenir un enfant "vrai", sans nationalité, juste l'âme de ce que l'on devrait toujours rester, des êtres sans stratagème, puis enfin sous le regard des "juges divins", avec ma compagne Anne, une femme exceptionnelle...
Le moment où je viens enfin de comprendre le sens des moulins à prières, puis me voilà au pied du Mardi Himal pas peu fier d'être dans l'antichambre des dieux, avant de redescendre sur terre jouer au ballon dans la rue avec les enfants, mes moments préférés de voyages où j'aime redevenir un enfant "vrai", sans nationalité, juste l'âme de ce que l'on devrait toujours rester, des êtres sans stratagème, puis enfin sous le regard des "juges divins", avec ma compagne Anne, une femme exceptionnelle...  Le moment où je viens enfin de comprendre le sens des moulins à prières, puis me voilà au pied du Mardi Himal pas peu fier d'être dans l'antichambre des dieux, avant de redescendre sur terre jouer au ballon dans la rue avec les enfants, mes moments préférés de voyages où j'aime redevenir un enfant "vrai", sans nationalité, juste l'âme de ce que l'on devrait toujours rester, des êtres sans stratagème, puis enfin sous le regard des "juges divins", avec ma compagne Anne, une femme exceptionnelle...  Le moment où je viens enfin de comprendre le sens des moulins à prières, puis me voilà au pied du Mardi Himal pas peu fier d'être dans l'antichambre des dieux, avant de redescendre sur terre jouer au ballon dans la rue avec les enfants, mes moments préférés de voyages où j'aime redevenir un enfant "vrai", sans nationalité, juste l'âme de ce que l'on devrait toujours rester, des êtres sans stratagème, puis enfin sous le regard des "juges divins", avec ma compagne Anne, une femme exceptionnelle...

Le moment où je viens enfin de comprendre le sens des moulins à prières, puis me voilà au pied du Mardi Himal pas peu fier d'être dans l'antichambre des dieux, avant de redescendre sur terre jouer au ballon dans la rue avec les enfants, mes moments préférés de voyages où j'aime redevenir un enfant "vrai", sans nationalité, juste l'âme de ce que l'on devrait toujours rester, des êtres sans stratagème, puis enfin sous le regard des "juges divins", avec ma compagne Anne, une femme exceptionnelle...

Une pensée et un hommage à la 17 ème section et le plaisir de côtoyer un corps d'armée admiré mais craint dans le monde entier !!!!

Une pensée et un hommage à la 17 ème section et le plaisir de côtoyer un corps d'armée admiré mais craint dans le monde entier !!!!

Vivre ce n'est pas sérieux, ce n'est pas grave. C'est une aventure, c'est presque un jeu. Il faut fuir la gravité des imbéciles.

Jacques BREL

 

CONCLUSION...

Quel merveilleux pays, quelle douce énergie, quels gens attachants....je n'ai passé que 15 jours au Népal, c'est à dire le temps d'une petite virgule au milieu d'une phrase, mais le souffle de ce pays m'a réchauffé l'âme pour de longs jours encore....Aimer c'est partager, c'est pourquoi je voulais d'abord encourager les curieux à visiter ce pays, puis préciser que le Népal n'était pas seulement synonyme de longues marches à travers les montagnes, c'est aussi profiter de la merveilleuse Vallée de Khatmandu, plonger dans la poésie de ses villes et rencontrer les népalais, passer du temps avec eux, comprendre leur merveilleuse énergie, si éloignée de la notre. 

Après mon retour, quand le miroir se trouble et mon souvenir s'alanguit, il me reste toujours le parfum vérace de ce que je viens de vivre, la quintessence épurée de mon séjour, les questions et la réflexion philosophique, qui me font comprendre pourquoi je pars, je reviens puis je repars encore et toujours...je me suis demandé pourquoi autant de différences entre un monde primaire, bruyant, agressif, orgueilleux, avide, expansionniste et un monde spirituel, pudique, silencieux et raisonnable de l'autre. 

Je pense que l'Homme reste intrinsèquement et inconsciemment un animal apeuré et terrorisé par sa proche disparition...que sa nature est immanente, quelque soit le continent dans lequel il se trouve, mais ce qui différencie les façons de vivre et l'approche de l'existence, c'est tout simplement son ÉDUCATION, celle citée au début du récit, ce moment important de la vie où on imprègne notre inconscient, où on sculpte notre spiritualité, cette nourriture philosophique qui va déterminer notre comportement d'Homme. Ici au Népal, peu de compétitivité mais beaucoup de respect, des siècles d'Hindouisme ou de Bouddhisme ont poli et façonné une société plus spirituelle que compétitive. Chacun essaye de faire face à la pauvreté, mais la Vie est envisagée avec beaucoup de recul et de sagesse, bien loin évidemment de la notre où la course est permanente et le résultat bien trop déterminant...

L'Homme doit à tout prix rester au dessus du Système, quand le Système prévaut sur l'Homme, c'est que les limites ont été franchies...voici ma conclusion sur ce court mais merveilleux voyage...

Comme disait Paolo COGNETTI dans son ouvrage "Sans jamais atteindre le sommet"

"bon retour dans le désert du réel"....

 

Une vie est une onde qui déroule son chemin de la naissance à la mort

Sylvain TESSON (Éloge de l'énergie vagabonde)